MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 1
Fichier original disponible ici : MMQ0006.pdf
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Volume #1 – Numéro #6
Juillet 1993
┌─ Centre d’édition ──────────────────────────────────────────┐
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SBE Info Services BBS – (514)278-1963 – 14.4k/v.32bis
Ouvert 24h tous les jours de la semaine.
Adresses réseau: 101:190/102 1:167/223
La nouvelle ligne voix du MMQ, (514)495-2610 24h/24h 7jours/sem.
Laissez message sur répondeur si je suis indisponible. Merci!
Pour avoir la plus récente copie du MMQ, faites une requête de MMQ
sur TechnoBytes BBS au travers de votre mailer.
┌─ Édition, rédaction et montage ──────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
L’édition et le montage de cette copie a été effectuée
par Constantin Koutrias avec l’aide de Normand Julien
pour la rédaction.
NOTE: Cette copie a été formatée pour impression.
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┌─ Sommaire ───────────────────────────────────────────────────┐
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Note de l’éditeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 2
Formulaire d’application pour le MMQ. . . . . . . . . . . Page 2
Le TurboPascal de Jean Gravel (3e partie) . . . . . . . . Page 3
Le TOP 5 des TAGLINES . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 7
Reconnaître l’ANSI dans le C. . . . . . . . . . . . . . . Page 7
Comment installer un SBE DOS sous OS/2. . . . . . . . . . Page 8
Historique de FrancoMédia . . . . . . . . . . . . . . . . Page 9
Commentaire d’un usager d’OS/2. . . . . . . . . . . . . . Page 13
L’informatique et le français sont-ils compatibles ? . . Page 14
Les annonces classées . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 16
┌─ Note de l’éditeur ──────────────────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
Salut à vous tous!
Ce mois-ci le MMQ n’est pas en retard! Surprenant hein? Disons
que j’ai maintenant plus de temps pour moi-même et plus de temps
disponible pour mieux faire les choses que je faisais. Comme
dirait un bon vieux dicton, “Rien ne sert de faire trop à
la fois, suffit d’en faire moins, mais de les faire mieux”.
Je tiens à remercier notre nouveau collaborateur Normand Julien
qui veillera à la qualité de l’orthographe du MMQ. Il m’appuiera
dans la révision du MMQ.
Sur ce je vais vous laissez passer de bonnes vacances et
faites attentions à vous!!! Bonne lecture!
Constantin Koutrias
┌─ Formulaire d’application du MMQ ────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
J’aimerais recevoir le MicroMensuel du Québec au travers de
mon “mailer” dès sa sortie. Je consens à ce qu’il soit mit
en HOLD sur SBE Info Services si je suis longue distance
de SBE Info Services. Je ferai un poll à tous les 1er du mois.
Nom du babillard: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Nom de l’opérateur: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Numéro du babillard: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Numéro de l’opérateur: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Adresse réseau: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Ville: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 3
A envoyer sous forme NetMail sur SBE Info Services.
Merci de votre attention.
Constantin Koutrias
┌─ Le TurboPascal de Jean Gravel (3e partie) ──────────────────┐
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INTRODUCTION AU PASCAL: 5 règles de base en programmation
=========================================================
Dans ce numéro, nous passerons une à une, cinq bonnes habitudes
qui permettent de programmer efficacement. Il sera aussi question
de l’instruction “CASE” dans le dernier exemple qui sera donné.
1ère REGLE: Tout est programmable…
————————————
Le langage Pascal offre plusieurs fonctions prédéfinies, de
toutes utilités. Dans le cas des fonctions mathématiques, on peut
vérifier en consultant la documentation qui accompagne le
logiciel que la fonction “log” n’existe pas en Pascal. Seule la
fonction “ln” (logarithme népérien) existe. On va utiliser une
formule mathématique simple qu’on appelle “formule de changement
de base” pour pallier à cette particularité du langage Pascal.
Ainsi, l’instruction “ln(I)” calcule le logarithme naturel de
“I”. Pour obtenir le logarithme en base 10 de “I”, il suffit de
transcrire la relation log(I) = ln(I)/ln(10) en une instruction
Pascal.
Program Exemple_6;
var I : longint;
begin
for I:=1 to 15 do
writeln(‘I = ‘,I,”:10,’log I = ‘,Ln(I)/Ln(10));
end.
Le langage Pascal offre une panoplie de possibilités de base,
mais le programmeur doit faire appel à toutes les ressources
externes pour parvenir à ses fins. Le dernier exemple montre
comment le programmeur utilise une relation mathématique pour
résoudre un problème particulier.
2ème REGLE: Une disposition structurée des instructions…
———————————————————-
Si on révise les 6 premiers exemples, on constate que les
instructions sont disposées de sorte à aligner sur une même
colonne les instructions relatives à un même niveau. Les niveaux
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 4
correspondent à des décalages de deux unités en deux unités à
partir de la marge de gauche.
Niveau 0
Niveau 1
Niveau 2
Niveau 3
Niveau 2
Niveau 1
Niveau 0
3ème REGLE: Des noms de variable significatifs…
————————————————-
La pire habitude à prendre pour un programmeur est d’utiliser la
lettre “T” comme nom de variable pour, par exemple, représenter
le taux d’intérêt dans un programme.
Pourquoi ne pas utiliser une variable plus significative qu’on
pourrait nommer “Taux”? L’exemple suivant calcule le rendement
d’un montant donné pour les 10 premières années lorsque placé à
un taux d’intérêt particulier.
Program Exemple_7;
var
Montant,
Annee,
Taux : real;
begin
Annee:=1;
write(‘Montant initial = ‘);
readln(Montant);
write(‘Taux d”intérêt = ‘);
readln(Taux);
for Annee:=1 to 10 do
begin
Montant:=Montant + Montant * Taux;
writeln(‘Année: ‘,Annee : 2,” : 10,
‘Capital: ‘,Montant);
end;
end.
Jusqu’avant cet exemple, on avait utilisé des noms de variables
qui se résumaient à une seule lettre. Cette pratique donne
rapidement des maux de tête, les noms des variables n’étant pas
significatifs, on perd rapidement le fil du programme. Dans
l’exemple 7, on a utilisé des mots au lieu de simples lettres.
On constate que la lecture du programme s’en trouve facilité.
Par exemple, la ligne qui calcule le nouveau montant chaque année
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 5
est tout à fait compréhensible. On voit clairement que la
variable “Montant” se voit assigner la somme de l’ancien montant
et du produit de cet ancien montant par le taux (les profits sur
le capital). Les noms des variables parlent d’eux-mêmes.
4ème REGLE: Garnir de commentaires…
————————————-
Lorsque les programmes sont courts et comportent peu
d’instructions, on peut croire que la documentation des
instructions est superflue. C’est possible mais surtout
discutable. Redonnez un programme à son concepteur six mois plus
tard et demandez-lui de le commenter, vous verrez…
Mon expérience personnelle fait foi que la conception du lecteur
hors-ligne LHL n’aurait jamais été possible si je n’avais pas
parsemé les 16000 lignes d’instructions de nombreux commentaires.
La révision est simplifiée, on économise du temps, etc.
On peut insérer des commentaires dans un programme Pascal en les
entourant d’accolades “{” et “}” ou des séquences “(*” et “*)”.
Les accolades servant à autre chose, on préfère utiliser la
seconde méthode.
Plusieurs lignes aident à la compréhension du programme suivant.
Un commentaire peut s’étendre sur plusieurs lignes si nécessaire.
Program Exemple_8;
(* Programme qui convertit une chaîne de caractères en
majuscules en transformant un à un les caractères. *)
var
i : integer; (* Compteur *)
S : string; (* Contient la chaîne *)
begin
(* Lecture de la chaîne à traduire *)
write(‘Expression à convertir: ‘);
readln(S);
(* Boucle qui passe chaque caractère un à un *)
for i:=1 to Length(S) do
case S[i] of
(* Les caractères sont comparés par rapport à leur
position décimale dans la table ASCII. Les
caractères 97 à 122 sont les lettres minuscules
“a” à “z”. Leur conversion est faite à l’aide de
l’instruction “Upcase” du Pascal *)
#97..#122 : S[i]:=UpCase(S[i]);
(* Cas des lettres accentuées = U *)
#129,#150,#151,#154,#163 : S[i]:=’U’;
(* Cas des lettres accentuées = C *)
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 6
#128,#135 : S[i]:=’C’;
(* Cas des lettres accentuées = E *)
#130,#136..#138,#144 : S[i]:=’E’;
(* Cas des lettres accentuées = A *)
#131..#134,#142,#143,#160 : S[i]:=’A’;
(* Cas des lettres accentuées = I *)
#139..#141,#161 : S[i]:=’I’;
(* Cas des lettres accentuées = O *)
#147..#149,#153,#162 : S[i]:=’O’;
(* Cas des lettres accentuées = Y *)
#152 : S[i]:=’Y’;
(* Cas des lettres accentuées = N *)
#164,#165 : S[i]:=’N’;
end;
write(‘Conversion = ‘,S); (* Affiche la conversion *)
readln; (* Permet une pause *)
end.
Évidemment on a exagéré le nombre et la longueur des commentaires
et le programme est moins lisible. On a par contre respecté
le principe des niveaux et on est certain que même dix ans plus
tard, on pourrait rapidement comprendre le fonctionnement de ce
petit programme.
Le programme demande qu’on entre une séquence de texte, convertit
caractère par caractère en majuscule (tient compte des lettres
accentuées) et imprime le résultat à l’écran. On aura remarqué
l’usage de l’instruction “Upcase” du Pascal qui retourne la
majuscule associée à une minuscule donnée.
Le gros du travail est effectué par l’instruction “Case” à
l’intérieur de la boucle “for … to … do”. La boucle s’arrête
au dernier caractère de la chaîne et sa position est obtenue à
l’aide de l’instruction “Length” qui retourne la longueur totale
d’une chaîne de caractère.
L’instruction “Case” s’occupe de trier les caractères et, selon
les éventualités, donne le contrôle à la bonne instruction parmi
la liste des possibilités comprises entre le mot “case” et le mot
“end;”.
5ème REGLE: Quand ça ne fonctionne pas, on arrête…
————————————————-
On peut conclure la chronique en précisant qu’en programmation,
tout ne fonctionne pas toujours comme on le veut. Règle
générale, lorsqu’on est pris avec un problème en programmation,
ce qu’on appelle communément un “bug”, on doit prendre le temps
de se changer les idées et d’y revenir plus tard, reposé, afin de
revoir notre approche, régler le problème.
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 7
Dans le prochain numéro, on présentera les principaux types du
Pascal et on expliquera particulièrement l’octet, son
architecture, son rôle, son importance dans le langage des
ordinateurs.
Jean Gravel
┌─ Le TOP 5 des taglines ──────────────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
1. Donnez-moi 8MB de plus et je contrôlerai le monde!
2. Une bonne action s’accompagne toujours d’une mauvaise.
3. 00 ~~~ Ben voui… chuis nue comme un ver… et puis ???…
4. Tout le monde me dit: Soit beau et tais-toi….
5. Sois plongeur de vaisselle que de te vendre pour $$
Avis à tous ceux qui se reconnaissent. 🙂
┌─ Reconnaître l’ANSI dans le C ───────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
Comment insérer un fichier ANSI dans le langage C
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
(Exemple fait avec Turbo C++ v1.0)
1) Premièrement, faire le dessin dans TheDraw
2) Le sauvegarder en format .C, de type [N]ormal et en gardant IMAGEDATA
3) Inclure le fichier sauvegarder dans le répertoire C:\TC
4) Tapez ce court programme:
#include “c:\tc\ansi.c”
#include
int main(void)
{
clrscr();
puttext(1,1,80,25,IMAGEDATA);
getch();
}
5) Exécutez le programme et le compilateur créera le fichier ANSI.EXE
6) C’EST TOUT!
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Jean-Francois Paquin
┌─ Comment installer un SBE DOS sous OS/2 ─────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
Le principe d’installation d’un babillard conçu pour DOS pour
rouler dans OS/2 est bien simple. Premièrement procurez vous
le fichier SIO102.ZIP qui est disponible dans mon babillard
en requête sous le nom de SIO ou dans la section des fichiers
gratuits de TechnoBytes (514)278-1963 14.4k. Décompressez-le
dans le répertoire C:\OS2.
Dézipper ce package dans un répertoire, éditer votre CONFIG.SYS
et mettez un “REM” devant les deux lignes suivantes:
REM DEVICE=C:\OS2\COM.SYS
REM DEVICE=C:\OS2\MDOS\VCOM.SYS
Ajoutez donc ceci:
DEVICE=C:\OS2\SIO.SYS
DEVICE=C:\OS2\VSIO.SYS
Donc un remplacement de pilotes. Ensuite, faites un Shutdown et
un boot reset de votre système. Par après lors de votre retour
sur le Desktop, allez sur votre icône de DOS-Box et faites le
bouton de droite, ensuite garder votre bouton de gauche pressé
sur le “OPEN” et coulissez la sur la droite jusqu’à ce que vous
aperceviez un autre sous-menu et relâcher le bouton de gauche
sur le “SETTINGS”
Ensuite une boîte apparaîtra, allez sur le côté et cliquez une
fois sur “Session” et vous verrez au centre une petite
boîte “DOS parameters” cliquez sur celle-ci. Allez dans la
section DEVICE et mettez:
C:\OS2\VX00.SYS
Fermez le tout en cliquant sur les carreaux dans le coin supérieur
gauche. Démarrez votre session DOS et votre logiciel de
SBE ou de mailer “front-end” sans avoir de FOSSIL à ajouter
en mémoire.
Le tour est joué!
Constantin Koutrias
┌─ Historique de FrancoMédia ──────────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
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──────────────────────────────────────────────────────────────────────
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Le plus grand réseau international en français !
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Copywright 1992-1993, Association FrancoMédia F.A.S.T. enr.
Tous droits réservés.
Texte préparé par: Robert Marcoux et Simon Thibodeau.
Avant-propos:
Pendant que les spécialistes de la télématique mettent au point le
village planétaire de l’avenir, des passionnés d’informatique vivent
un avant-goût de cette technologie au sein de serveurs télématiques,
des genres de clubs qui ont proliféré sur la planète depuis quelques
années. Du confort de votre foyer, vous pouvez maintenant
correspondre avec des gens partageant vos intérêts, vos goûts ou vos
passions.
Si les usagers d’ordinateurs se sont réunis sur des serveurs
télématiques, les serveurs télématiques se sont eux-mêmes reliés en
réseaux. Le réseau FrancoMédia, le plus célèbre d’entre eux, s’est
développé de manière tentaculaire à travers la province depuis 1992.
FrancoMédia regroupe aujourd’hui sur une base coopérative plus de 200
babillards électroniques. Plus de 150 serveurs télématiques de la
province de Québec en font partie. FrancoMédia offre aussi la
possibilité de communiquer en français avec des gens d’autres
continents. Sur le plan international, le réseau est solidement
implanté : la France et la Belgique… FrancoMédia permet à des gens
comme vous de profiter des privilèges qu’offre la télématique.
FrancoMédia véhicule des conférences publiques sur des sujets aussi
disparates que la cuisine ou l’automobile. Chaque serveur
télématique peut choisir d’«héberger» quelques-unes de ces
conférences où des usagers souvent séparés par des centaines de
kilomètres, discutent publiquement. Un commentaire émis depuis
Montréal sur une conférence peut prendre quelques jours avant de
revenir à son point de départ, accompagné des réponses glanées à
travers la province.
Le réseau Francomédia est une façon rapide, dynamique et économique
de communiquer rapidement et fréquemment entre francophones. Le
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réseau FrancoMédia est insensible à la distance ou à l’endroit de
résidence.
Historique:
Fondé officiellement le premier avril 1992, l’idée de créer un
véritable réseau français, a pris forme pendant l’implication
individuelle de deux individus sur un autre réseau de messageries.
Pourquoi FrancoMédia? Le réseau FrancoMédia veut aider les
francophones à maintenir leur langue, leur culture et leur sens
d’appartenance tout en participant aux grands changements sociaux qui
sont en cours, en particulier dans le domaine de l’utilisation des
technologies de pointe.
A sa plus simple expression, le réseau FrancoMédia est un service de
communication par ordinateur offrant les services de courrier et de
rencontres électroniques. Il s’agit d’un réseau électronique à base
communautaire dont le contenu appartient aux usagers des services. Il
n’y a aucune contrainte au niveau de l’adhésion: tout individu,
agence, organisme, institution ou commerce peut en être membre. Les
usagers du réseau FrancoMédia sont donc bénéficiaires du service mais
aussi responsables de sa croissance et de sa survie.
Les conférences du réseau sont de tous genres. Ni trop techniques
ni trop élémentaires, les sujets sont diversifiés pour répondre le
plus possible à tous les goûts du public. FrancoMédia, c’est
aujourd’hui plus de 70 conférences. 29 sont directement liées à
l’informatique, 13 aux divertissements et loisirs, 5 sont dédiées
aux phénomènes paranormaux et scientifiques, 8 offrent des services
et des informations à la population, 14 sont d’intérêt général et
enfin une dernière est réservée aux adolescents.
Le réseau FrancoMédia peut offrir trois choix de transfert pour
l’échange de messagerie. Le format sans conteste le plus populaire
est le format “mailer” (D’Bridge, FrontDoor, BinkleyTerm, etc.). Des
transferts de messagerie peuvent cependant se faire aussi dans les
formats Qnet/Tnet/Cnet et PcRelay.
FrancoMédia veut également offrir aux entreprises ou aux groupes
communautaires un service complet de transmission de courrier et de
fichiers. Notre but n’est peut-être pas si loin, BORLAND SOFTWARE
CANADA offre depuis quelques temps, un service de support technique
pour ses produits informatiques à l’intention des usagers du réseau
FrancoMédia.
Réalisations:
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 11
Le réseau FrancoMédia débuta avec un plancher de 75 babillards. Par
la suite l’ajout continuel de nouveaux babillards, a fait progresser
FrancoMédia assez rapidement. Au deuxième mois d’existence du réseau
en juin 1992, déjà 85 babillards étaient reliés. Au dernier
décompte de juin 1993, on en dénombrait un peu plus de 200.
Le réseau FrancoMédia se donne comme mandat de relier entre elles
toutes les régions du Québec et de rejoindre les francophones hors
de la province! On peut le dire, mission accomplie! 13 régions du
Québec sont couvertes par le réseau. De l’Outaouais au Bas-du-fleuve
en passant par le Haut-Richelieu, la Montérégie, la région de
Montréal, l’Estrie, Lanaudière, le Coeur-du-Québec, la Mauricie, le
Saguenay Lac-St-Jean, la région de Québec, l’Abitibi et la Beauce. A
l’extérieur du Québec, le réseau est présent sur quatre babillards en
Ontario, et un au Nouveau-Brunswick. FrancoMédia compte 15 babillards
en France, 12 en Belgique et ce n’est qu’un début!
Et, pendant que s’opèrent toutes ces installations un peu, un second
réseau voit le jour. Né de FrancoMédia, FrancoMédia-Education
s’occupera activement de pédagogie et permettra aux élèves d’entrer
de plein pied dans le vingt-et-unième siècle.
OBJECTIFS ET PERSPECTIVES DU RESEAU FRANCOMEDIA:
Les objectifs
Objectif technique:
1- Créer un réseau léger de télématique utilisant la rencontre par
ordinateur, le courrier électronique et les banques de données, en
tant que médium de communication économique et en temps différé.
2- Appuyer le développement des logiciels et l’édition télématique
francophones.
Objectif d’apprentissage pour les utilisateurs:
3- Apprendre à se servir des technologies de communications
interactives et développer l’habitude et le réflexe de se servir
des technologies.
4- Se garder au diapason des changements sociaux en utilisant la
technologie de communication en éducation, dans le commerce et
dans les services publics.
Objectifs sociaux:
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 12
5- Bâtir un réseau pancanadien de francophones en interaction via
la télématique pour contrer l’isolement et accélérer l’évolution
des dossiers.
6- Appuyer le développement de l’enseignement/apprentissage à
distance que ce soit dans les écoles ou dans les institutions
postsecondaires.
7- Appuyer le développement des services en alphabétisation.
Objectifs culturels:
8- S’assurer que les messages véhiculés par la technologie renforcent
la culture et le sens d’appartenance (questions de contenus, par
exemple les sujets, préoccupations et besoins des francophones).
9- S’assurer que la technologie elle-même renforce la culture et le
sens d’appartenance (questions de contenants: matériel et
logiciel).
Conclusion:
A priori on pourrait croire que le réseau FrancoMédia a terminé sa
mission. Mais non! Les perspectives du réseau se sont agrandies.
Nous visons maintenant la réunion par modem de toutes les
communautés francophones du monde!
Vous désiréz adhérer au réseau FrancoMédia ?
Completer ce formulaire et le faire parvenir via modem au babillard:
L’ALBATROS! (514) 376-0721
FidoNet : 1:167/2465
Ou par courrier à l’attention de:
Association FrancoMédia F.A.S.T. enr.
7601, d’Iberville
Montréal, Québec.
H2E 2Z1
┌───────────────────────────────────────────────────┐ ┌────────┐
│░░▒▒▓▓██ Application au réseau FrancoMédia ██▓▓▒▒░░│ │ BAB-1O │
└───────────────────────────────────────────────────┘ └────────┘
Toutes ces informations demeurent strictement confidentielles…
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╔═════════════════════════════╤══════════════════════╤═══════════════════╗
║ Date d’application……… │.. /../.. (JJ/MM/AA) │░▒▓█ Personnel █▓▒░║
╠═════════════════════════════╪══════════════════════╧═══════════════════╣
║ Prénom, nom….. Opérateur │ …………………………………. ║
║ Date de naissance Opérateur │ …………………………………. ║
║ Adresse……… No et rue │ …………………………………. ║
║ Adresse……… Supplément.│ …………………………………. ║
║ Adresse……… Ville/Prov │ ………………. Code: ………….. ║
║ Téléphone……. Résidence │ (…)………….. Trav: (…)……… ║
║ Disponibilité… Appel voix │ ..:.. à ..:.. Jour: ………….. ║
╚═════════════════════════════╧══════════════════════════════════════════╝
╔═════════════════════════════╤══════════════════════╤═══════════════════╗
║ Aimeriez-vous devenir “HUB” │ Oui: … Non: … │░▒▓█ Serveur █▓▒░║
╠═════════════════════════════╪══════════════════════╧═══════════════════╣
║ Nom du serveur au complet │ …………………………………. ║
║ Nombre de lignes publ/priv. │ Publiques(s): ….. Privée(s) : …….. ║
║ Logiciel utilisé (Version?) │ ………………. Enregistré? …….. ║
║ Capacité disques (Total Mo) │ ………………. CD-ROM (Mo) …….. ║
║ Opération depuis (Mois/AA) │ ………………. Enregistré? …….. ║
╟─────────────────────────────┼──────────────────────────────────────────╢
║ Numéro téléphone principal │ (…)….-……… Modem: ………. bds║
║ Numéro téléphone secondaire │ (…)….-……… Modem: ………. bds║
║ Numéro téléphone supplément │ (…)….-……… Modem: ………. bds║
╟─────────────────────────────┼──────────────────────────────────────────╢
║ Adresse réseau.. Mailer etc │ …………………………………. ║
║ Type de “Mailer” et version │ ………………. Heures…: ……… ║
║ Code d’accès… (“Password”)│ ………………. Session..: ……… ║
║ Votre “HUB”….. (Si connu) │ ………………. Débute le: ……… ║
╚═════════════════════════════╧══════════════════════════════════════════╝
┌─ Commentaire d’un usager d’OS/2 ─────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
J’ai réalisé, lors de différentes conversations, que plusieurs
n’avaient que peu d’idées sur ce qu’était OS/2 et pensaient souvent
que ses différences avec DOS pouvaient le rendre aussi hermétique
que l’environnement UNIX avec des commandes différentes et un
apprentissage quelque peu ardu. Il n’en est rien et si vous êtes un
tant soit peu familier avec DOS, les commandes d’OS/2 sont identi-
ques. Vous pouvez rouler sous OS/2 sans avoir aucun programme OS/2
ou Windows et rouler strictement des programmes DOS avec avantage
vu la grande efficacité du multitâche d’OS/2. Vous pouvez rouler
Telix, Lotus et WordPerfect en même temps sans qu’OS/2 ne s’en
plaigne. La seule restriction est qu’un programme ne peut accéder
directement à la quincaillerie ou contrôler la mémoire. La
grande majorité des programmes n’ont pas besoin d’être traités de
façon spéciale pour rouler sans problème et, s’ils en ont besoin,
OS/2 offre plusieurs choix. Vous pouvez même, sous 2.1, spécifier
un AUTOEXEC.BAT différent pour chaque programme en plus de pouvoir
spécifier un pilote additionnel (device driver). Si vous voulez
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 14
utiliser un programme de communication DOS vous aurez avantage à
vous procurer le pilote SIO de Ray Gwinn qui remplace les pilotes
d’IBM et vous évitera de faire de la mise-au-point de votre
programme.
Pourquoi alors se procurer des programmes OS/2 si les programmes
DOS font l’affaire? Les programmes DOS utilisent souvent une
technique de programmation dite de «polling» qui consiste à
utiliser le microprocesseur pour vérifier l’existence d’un nouveau
caractère provenant du clavier ou du modem pour accélérer l’exécu-
tion du programme au dépend de l’utilisation du microprocesseur.
Autrement dit, le programme se comporte comme s’il était seul et
tente d’accaparer le microprocesseur pour lui seul rendant la
gestion des programmes en mémoire plus difficile. Ceci est aussi
vrai sous Desqview. D’autre part, les programmes OS/2 pour les
versions 2.x utilisent du «multithreading» qui est du multitâche à
l’intérieur d’un programme et ne sont pas gênés par les limites de
mémoire de DOS en utilisant pleinement les fonctions 32 bits du
microprocesseur. Il existe plus de 300Mo de programmes de type
partagiciel et les applications commerciales commencent à devenir
disponibles. WordPerfect doit même sortir sa version 6.0 pour OS/2
avant celle pour Windows.
La version 2.1 d’OS/2 offre quelques avantages sur la version 2.0
dont les principaux sont:
– Support de Windows version 3.1 en mode enhanced
– Multimédia. Différentes cartes de son sont supportées et
plusieurs autres ont des pilotes en bêta.
– Rapidité d’exécution accrue.
– Plus de cartes graphiques supportées.
– Moins de problèmes! 🙂
Gilbert Lefebvre
┌─ L’informatique et le Français sont-ils compatibles ?────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
La grande majorité des nouveaux concepts de l’informatique contemporaine
sont créés soit au Japon, soit aux U.S.A, donc en langue anglaise. C’est
notamment le cas des systèmes d’exploitation, des environnements de
développement, de la plupart des logiciels de bureautiques, etc.
Ainsi, les concepteurs de systèmes ou les développeurs de logiciels
bureautiques détournent le sens de certains mots pour les besoins des
entités qu’ils créent (par exemple, THREAD) pour désigner les nouvelles
actions de l’utilisateur:DRAG AND DROP,CLICK,ect.Pour ce faire,ils puisent
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 15
allègrement dans l’arsenal des mots traditionnels ou fabriquent des
néologismes. Il faut dire que la langue anglaise se prête mieux que la
nôtre à des dérives que nous qualifierons ici de barbarisme. Et, en cas
de panne terminologique, notre contexte culturel, éducatif et parfois même
ministériel ne fait pas toujours la part belle aux langues étrangères.
Les rééditeurs et importateurs français se plient donc à la volonté de
totale francisation. Traduire une explication ou une description ne pose
A PRIORI pas plus de problèmes que dans d’autre domaines techniques, et
notre langue sait, aussi bien que toute autre, s’adapter à de nombreuses
situations.
Mais que peut donc faire le traducteur quand il rencontre un nouveau terme?
Il peut opter pour une traduction littérale, en choisissant le premier
mot rencontré dans le dictionnaire… Ce qui amène à traduire THREAD par
filament ou fil, DRAG AND DROP par draguer et laisser tomber, CLICK par
cliqueter ou faire Tic Tac! Au petit bonheur, il tombera parfois bien,
parfois moins bien. De toute façon, chaque traducteur l’entendra comme il
voudra. Et l’utilisateur devra non seulement tenter de comprendre au pied
levé les concepts du texte, mais aussi s’imprégner d’un nouveau vocabulaire,
parfois peu intuitif. Comme deuxième solution, le traducteur choisi, par
facilité de garder les termes d’origine. Cela conduit à des textes
mi-français mi-anglais, relativement illisibles, dans lesquels la
terminologie américaine ne correspond à rien pour qui ne connaît pas
l’anglais. La dernière option, nécessite plus d’effort de la part du
traducteur. Il lui faut réfléchir à chaque nouveau terme, reconstituer son
histoire, comprendre pourquoi l’auteur l’a choisi plutôt qu’un autre et
trouver une équivalence techniquement acceptable.
Malheureusement, il ne dispose généralement ni du temps, ni des compétences
nécessaires. Autre désavantage, chaque traducteur risque d’élaborer son
propre lexique, et ce sans le moindre espoir de normalisation. Cette
dernière solution est évidement celle qui devrait être recherchée. Un
texte technique bien traduit, dans lequel le vocabulaire est soigneusement
choisi se lit aisément et facilite le compréhension des concepts. Pour
aboutir à une bonne traduction, deux conditions sont requises. D’une part,
le traducteur doit bien connaître le sujet du texte qu’il traduit, ou au
moins se faire assister par quelqu’un qui est “Au Courant” et, d’autre part
le choix des équivalences ne doit pas dépendre exclusivement des traducteurs.
Il faut donc qu’un organisme se charge de publier un dictionnaire
permanent des termes officiellement retenus. Et comme l’informatique évolue
sans cesse, il est tout à fait normal que ce dictionnaire avance au même
rythme. Lorsqu’un nouveau concept apparaît, sa (Bonne) traduction doit
arriver immédiatement. Ce dictionnaire doit être régulièrement actualisé
et accessible à l’aide de moyens électroniques. Il doit être pensé par des
spécialistes de l’informatique au courant des nouvelles technologies,
qui doivent réagir vite et savoir apprécier le terme qui a le plus de
chance d’entrer dans notre langue quotidienne.
Martin Taillefer
MMQ0006.DOC Le MicroMensuel du Québec – Juillet 1993 Page 16
Sources
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PcExpert Mois D’Avril 93
Info-Mag Mois Septembre 93
Inter-Rack Mois Juin 92
┌─ Annonces classés ───────────────────────────────────────────┐
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de l’annonce. Les annonces de babillards sont bienvenues. Tous
les profits provenant de ces annonces servent, dans un but non-
lucratif à couvrir les diverses dépenses que le MMQ représentent
pour son éditeur.
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┌─ Le mois prochain dans le MMQ… ────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
– Les questions les plus fréquentes à propos d’OS/2.
– Les standards des modems hautes-vitesses en industrie.
– Sondage MMQ #1 – A voir!!!
– La suite des articles de TurboPascal de Jean Gravel.
– Et plus…