Ma douce, ma tendre, ma merveilleuse aimée,
De nos regards s’envolent nos pensées,
De notre amour s’étoile le temps passé,
Et tu es là, merveilleuse à me regarder…
Quand ton coeur est au zénith et dans les limbes,
Quand nous découvrons nos voix sans timbre,
Quand nos gestes ruissellent de tendresse sur nos mains,
O combien d’amour aurions nous encore à troquer demain ?
Sur le récif de nos coeurs enflammés,
Tant de tendresse en ces temps indiqués,
Comme je t’aime en mon âme tourmentée,
Pour cette vie que je voudrai tant te montrer…
Ce doux rayon de lune comme une plume magique,
Qui suit mon coeur et mon récit d’Aphrodite,
Que ne puis-je te refuser, ni mon âme, ni aucun hic,
Pour grimper les montagnes et sur les plus hauts pic !
Cette vie qui est en toi, en ton coeur et peut être plus encore,
Que je n’ose te dire ce que raconte mon corps,
Dans mon âme comme un rayon de bonheur, un trésor,
Je t’offrirai tout ce que tu aimes, de la pluie et de l’or !
Et cet azur, ce bleu protecteur sur ta douce peau,
Tel un calice me rappelle les trésors que tu caches,
Ta tendresse et la complice d’une vie comme de l’eau,
Est un océan de joie, un râve, il faut que tu le saches…
Sous cette pluie de bienfait, en ces mots effaçés,
Grâce au temps et des larmes de bonheur égarées,
Nous enlacent en ce linceul invisible jusqu’à l’éternité,
Pour qu’ensemble nous soyons unis et aimés…
Quelques mots glanés et volés au temps qui passe,
Un recourt ou un gage de ce que l’espace ne peut faire,
Nous aurons en ces bras, tout l’amour, faites place !
Un jour peut être, de la joie vivra pour un père !
Je ne peux arrêter ici bas cette liasse de mots,
Ce bienfait que la nature nous donne et bientôt,
Dans ta bouche résonnera comme une vague sur l’eau,
Tant de verbes que mon coeur te donne aussitôt !
