MMQ0003.DOC Le MicroMensuel du Québec – Avril 1993 Page 1
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Volume #1 – Numéro #3
Avril 1993
┌─ Centre d’édition ──────────────────────────────────────────┐
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TechnoBytes BBS – (514)278-1963 – 14.4k/v.32bis.
Ouvert 24h tous les jours de la semaine.
Pour avoir la plus récente copie du MMQ, faites une requête de MMQ
sur TechnoBytes BBS au travers de votre mailer.
┌─ Édition, rédaction et montage ──────────────────────────────┐
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L’édition et le montage de cette copie a été effectuée
par Constantin Koutrias.
NOTE: Cette copie a été formatée pour impression.
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┌─ Sommaire ───────────────────────────────────────────────────┐
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Note de l’éditeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 2
Formulaire d’application pour le MMQ. . . . . . . . . . . Page 3
Le château de fer (1er Chapitre). . . . . . . . . . . . . Page 3
Chronique TurboPascal . . . . . . . . . . . . . . . . . . Page 10
┌─ Note de l’éditeur ──────────────────────────────────────────┐
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Finalement notre printemps (le vrai) arrive ici au Québec dans
la plupart des endroits et régions. Ce mois-çi un manque
d’articles se fait sentir, mais que voulez-vous, c’est la vie!
Au fait, j’espère que la tempête de neige prévue sera un poisson
d’avril! 🙂
Ce mois-ci je vais mettre un peu l’accent sur une meilleure
distribution du journal télématique à travers le Québec avec
l’aide précieuse de plusieurs personnes. Nous avons le début
d’un autre excellent roman de Philippe Gauthier, Le château de
fer. Les deux chapitres suivants seront publiés dans les mois à
venir.
Le MicroMensuel du Québec a toujours besoin de vous pour des
articles. Le journal est fait pour vous, et c’est à vous de
partager vos connaissances avec les autres. N’hésitez pas à
nous faire parvenir vos articles. Tout article bien
structuré sera publié sans problèmes.
Il fait beau, très beau!!! 🙂
Constantin Koutrias
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┌─ Formulaire d’application du MMQ ────────────────────────────┐
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J’aimerai recevoir le MicroMensuel du Québec au travers de
mon “mailer” dès sa sortie. Je consens à ce qu’il soit mit
en HOLD sur TechnoBytes BBS si je suis longue distance
de TechnoBytes BBS. Je ferai un poll à tous les 1er du mois.
Nom du babillard: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Nom de l’opérateur: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Numéro du babillard: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Numéro de l’opérateur: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Adresse réseau: [. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
Ville: [ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ]
A envoyer sous forme NetMail sur TechnoBytes BBS.
Merci de votre attention.
Constantin Koutrias
┌─ Le Château de fer ──────────────────────────────────────────┐
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CHAPITRE 1
L’Ile-aux-mille-magiciens
Maître Serratis était un excellent magicien et un
professeur très intéressant, mais il y avait déjà un moment
que Télem ne l’écoutait plus. Il regardait passer Alys, plus
loin, à l’autre bout du parc. Elle était accompagnée de
Ghen, un nouveau, arrivé à peine un mois plus tôt au collège
de magie de Gort. Ghen chuchotait des secrets à Alys, qui
lui répondait de petits rires étouffés. “Mais pourquoi me
préfère-t-elle cet idiot?” se demanda Télem, qui réalisait
vaguement qu’il était jaloux.
– Il y a un problème, Télem?
C’était Maître Serratis qui le rappelait à l’ordre.
Ils étaient quatre, assis dans l’herbe sous un vieux chêne à
l’écouter parler. Il leur expliquait les fondements de la
magie de l’air, un domaine qui n’intéressait guère Télem. Il
n’assistait aux cours que parce que le vieux magicien était
à la fois son mentor et un homme fascinant: lorsque Télem
rencontrait des difficultés dans ses expériences de magie ou
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qu’il avait des problèmes personnels, Maître Serratis était
toujours de bon conseil.
Télem, qui ne voulait pas le décevoir en lui
laissant deviner qu’il n’écoutait pas, posa une question au
hasard.
– Je me demandais… Comment peut-on concilier une magie
aussi puissante que la magie de l’air et les enseignements
de Qader?
La question n’était pas anodine. Bien qu’il ne fût
qu’un novice de seize ans, les magiciens de Gort écoutaient
attentivement Télem lorsqu’il parlait de Qader. Ce dernier,
mort sept siècles plus tôt, était un magicien célèbre et
très respecté. Il avait proposé un usage modéré de la magie,
règle que l’ordre des magiciens s’efforçait depuis ce temps
de suivre scrupuleusement. Télem avait hérité d’un
mystérieux anneau à la mort de sa mère, une marchande
d’objets anciens. L’anneau, comme Télem devait plus tard le
découvrir, avait été fabriqué par Qader lui-même, qui y
avait déposé une partie de sa personnalité. Après plusieurs
aventures (1) Télem était parvenu à entrer en contact mental
avec l’anneau, qui l’avait choisi comme héritier spirituel.
– La magie de l’air peut en effet devenir dangereuse,
Tétragrammaton.
Il y avait de l’ironie, et aussi de la complicité,
dans la réponse de Maître Serratis. Tétragrammaton, le vrai
nom de Télem, était un prénom ancien faisant référence à
Qader. Télem s’était toujours demandé, sans en avoir la
——————–
Lire L’héritage de Qader, dans la même collection
preuve, si sa mère ne savait pas une partie de la vérité sur
l’anneau quand elle lui avait donné ce nom très rare.
– Il est bien évident, reprit Maître Serratis, que lorsque
l’on provoque des phénomènes extrêmes, comme les orages, la
grêle ou les ouragans, on brusque la nature. Si l’on
provoque une tornade, par exemple, toutes les dévastations
qui vont s’ensuivre n’auraient jamais existé sans le recours
aux forces de la magie. Cela représente une modification
brutale de l’univers, dont les conséquences sont
imprévisibles.
– Le chaos, souffla un autre novice.
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– Le chaos, précisément. Mais il y a bien d’autres sorti-
lèges de la magie de l’air qui peuvent rendre service sans
qu’on risque le chaos. On peut jouer sur la température, on
peut donner des formes et même une consistance au
brouillard… Les possibilités sont infinies.
La conversation prit très vite un tour technique. A
la demande d’un des élèves, Maître Serratis expliqua comment
se concentrer et quelles manipulations de l’éther il fallait
entreprendre pour donner une forme à du brouillard. Télem
risqua un coup d’oeil au loin, mais Alys et Ghen avaient
disparu. Il chercha un prétexte pour les suivre.
– Vous m’excuserez, dit Télem, mais je dois vous quitter.
J’ai pris rendez-vous avec Maître Delphen pour cet après-
midi. Il doit m’expliquer le sortilège de Naliq.
– Un sortilège intéressant, approuva Maître Serratis en
l’autorisant à se lever.
L’île de Gort, ou l’Ile-aux-mille-magiciens, comme
on la nommait parfois en raison des centaines de magiciens
qui y avaient résidé au cours des siècles, était une toute
petite île qui ne faisait guère qu’un mille de long et qui
était aménagée à la manière d’un jardin. Plusieurs petits
bâtiments de pierre blanche avec des dômes et des colonnades
abritaient les résidences et les officines d’une demi-
douzaine de magiciens et d’une vingtaine de novices. Sur
l’unique colline de l’endroit se trouvait le palais de
l’Archimage, le chef de la confrérie des magiciens. On ne
comptait guère plus de deux cents magiciens, disséminés à
travers le monde. A cause des convoitises et de la peur que
leur pouvoir auraient pu susciter, les magiciens menaient
une existence clandestine, vivant ordinairement sous une
fausse identité.
Télem retrouva rapidement Alys et Ghen. Ils étaient
assis sur un banc et discutaient. Il se cacha derrière une
haie et les observa un moment. Il avait rencontré Alys un an
et demi plus tôt, au moment où il fuyait des magiciens
hostiles à la doctrine de Qader: les magiciens renégats.
Alys avait été l’une d’entre eux, avant que Télem la
persuade de changer de camp. Ils étaient rapidement devenus
amoureux l’un de l’autre.
Ils avaient connu ensemble des moments merveilleux,
mais tout cela remontait à longtemps déjà. Depuis quelques
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temps, Télem sentait qu’Alys se détachait de lui. Il en
souffrait énormément. Il avait essayé de lui parler, de lui
faire comprendre qu’il avait besoin d’elle, mais tous ses
efforts s’étaient lamentablement retournés contre lui.
Depuis l’arrivée de Ghen sur l’île, un mois plus tôt, rien
n’allait plus.
Soudain, Alys se figea et regarda fixement en
direction de la haie où Télem se cachait. Celui-ci, avec le
sentiment d’avoir été pris en faute, s’éloigna rapidement.
Elle l’avait reconnu, il n’y avait pas de doute. Télem se
rendit à son laboratoire, maudissant sa propre lâcheté. Il
était temps qu’il ait une discussion sérieuse avec Alys,
mais il n’osait pas le faire, craignant d’être repoussé pour
de bon.
*****
Comme à chaque fois qu’il avait le cafard, Télem se
livrait à des expériences de magie. Obsédé par l’impact de
sa magie sur l’univers, il avait résolu d’explorer les
possibilités de l’illusion. Les dangers de la magie étaient
réels: à d’autres époques, des guerres de magiciens avaient
parfois rendu le monde tellement instable que les lois de la
nature étaient devenues imprévisibles par endroits. Sans
parler des effets sur les gens, qui étaient devenus cruels
et s’étaient livrés à des rites atroces.
Maître Serratis aurait bien aimé dissuader Télem de
poursuivre ses expériences avec les illusions. Le jeune
magicien, en effet, prenait depuis quelque temps un plaisir
malsain à imbriquer les illusions les unes dans les autres.
S’il avait été moins doué pour la magie, il aurait peut-être
été incapable d’échapper aux nombreux simulacres qu’il
créait en même temps et qui se superposaient les uns aux
autres. En effet, si les illusions n’étaient pas levées dans
l’ordre où elles avaient été créées, le magicien risquait
d’être abusé par ses propres sortilèges et de ne plus
distinguer le réel de l’imaginaire.
En ce moment, Télem expérimentait un de ces
sortilèges imbriqués les uns dans les autres. Il était assis
dans un fauteuil, profondément concentré. Un observateur peu
attentif l’aurait vu en train de pêcher à la ligne au bord
d’un ruisseau. En regardant mieux, il aurait sans doute
remarqué que Télem était en réalité en train de lire un
livre et aurait conclu que l’image du ruisseau n’était
qu’une illusion. Il se serait peut-être avancé; il aurait
alors frappé un meuble, puis d’autres. Tout ceci n’aurait
encore été qu’illusion, parce que le laboratoire de Télem ne
comptait en réalité presque pas de mobilier. Se souvenant de
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ceci, l’observateur aurait sans doute rejeté cette
impression de heurter des meubles comme une illusion. Il
aurait alors constaté que les “meubles” avaient en réalité
été des monstres marins rendus invisibles par une savante
illusion qui leur donnait également l’impression tactile de
meubles. Ces monstres étaient en apparence en train
d’attaquer Télem, debout l’épée à la main dans une chaloupe.
S’il n’avait pas été complètement pris de panique à la vue
de cette scène de cauchemar, l’observateur se serait souvenu
que le sol était toujours ferme sous ses pieds, bien qu’il
ait l’impression d’avoir les pieds mouillés dans l’océan.
Alors seulement, il aurait vu la réalité: Télem, assis
calmement dans un fauteuil, les mains sur les tempes, qui se
concentrait pour donner vie à toutes ces illusions en même
temps.
Télem était en train de se concentrer pour ajouter
des illusions sonores à la scène lorsqu’il entendit la porte
de son laboratoire s’ouvrir, puis un cri de surprise.
Quelqu’un! Il fallait vite lever les illusions, et dans
l’ordre! D’abord, la scène de ruisseau, puis la scène de
lecture. Ensuite, cette impression tactile de meubles. Cinq
meubles imaginaires à détruire, puis les cinq monstres
marins illusoires que ces simulacres de meubles
recouvraient. Télem marqua une courte pause: fallait-il
lever l’illusion de mer et de chaloupe en premier, ou celle
d’humidité? Il commença par celle d’humidité, puis leva la
dernière illusion.
Mettre fin à tous ces sortilèges ne prit que deux ou
trois secondes. C’est alors qu’il constata que son visiteur
n’était nulle autre qu’Alys. Il se leva pour la saluer, mais
elle recula d’instinct à son approche.
– Combien d’illusions, cette fois-ci? demanda Alys, qui
revenait à peine de sa surprise.
– Quatorze…
– Tu m’inquiètes, avec tes expériences. Un jour, tu ne seras
plus capable de distinguer le réel de l’imaginaire.
– Je contrôle parfaitement toutes mes illusions! protesta
Télem, qui se souvint à l’instant même qu’il avait eu un
moment d’hésitation au moment où il avait levé ses
sortilèges.
– Je sais que tu t’es lancé dans les illusions pour mieux
respecter les idées de Qader, répondit plus calmement Alys.
Et au début tout allait bien. Mais, depuis deux mois, tu es
enfermé ici presque tout le temps. Tu as changé, Télem. Tous
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ces sortilèges me font peur. Ils n’ont presque pas d’effet
négatif sur l’éther, c’est vrai, mais ils influencent la
manière dont ton cerveau perçoit la réalité.
Il y eu un moment de silence.
– Tu n’es pas venue pour me dire ça.
– C’est vrai.
– Tu m’as vu, tout à l’heure.
– Oui. Je suis furieuse! Tu te comportes de façon complète-
ment ridicule en t’interposant entre Ghen et moi.
– Je ne veux pas m’interposer…
– Oh, que si! Tu sais, Télem, j’ai beaucoup d’amitié pour
toi et je te serai toujours reconnaissante de m’avoir
libérée de l’emprise des magiciens renégats.
– De l’amitié… Ca a déjà été plus que ça.
– Tu te rends compte de ce que tu es devenu? Tu passes tes
journées à faire des expériences terrifiantes et à lire tout
ce que tu peux trouver sur Qader! Pourtant, l’anneau ne
s’est pas manifesté depuis un an et demi.
– Qader ne se réveille que dans des circonstances particu-
lières, tenta d’expliquer Télem. Pour le reste… Tu te
rends compte de mes responsabilités? Il m’a choisi comme
héritier! Tout le monde ici s’attend à ce que je parle sans
arrêt comme un prophète.
– Tu as pourtant l’air de bien savourer ta gloire.
– Ah, tu penses ça, toi? Tu le crois vraiment? Eh bien pas
du tout! Ca me tient souvent réveillé la nuit, et en plus,
je suis en train de te perdre à cause de ça.
– N’essaie pas de m’attendrir!
Télem crut deviner qu’il en coûtait à Alys de lui
faire des reproches aussi lourds. Y avait-il une partie
d’elle qui l’aimait encore?
– Ghen, lui, au moins, je peux le comprendre! reprit Alys.
– Ghen, Ghen, tu n’as que ce nom-là à la bouche! Il n’est
ici que depuis un mois: à moins qu’il ne soit un génie, il
en a encore pour un an avant de commencer à faire de la
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magie!
– Un petit génie comme toi, n’est-ce pas Messire Tétragram-
maton? Monsieur l’Héritier-de-Qader!
Elle s’arrêta de parler un court instant. Elle
paraissait regretter ses dernières paroles.
– Et puis… tu es trop bête! lui lança Alys en claquant la
porte derrière elle.
– C’est trop facile de partir, quand on n’a rien de sérieux
à dire! cria encore Télem à travers la porte fermée.
Télem resta immobile un long moment, songeur. Puis,
il alla se rasseoir dans son fauteuil. Cette fois-ci, il
parvint à superposer seize illusions. Mais, toujours sous le
coup de sa rupture avec Alys, il eut du mal à les lever.
Chapitre 1 du Château de Fer, roman de Philippe Gauthier
publié aux Éditions Paulines en avril 1990. Disponible chez
votre libraire pour $7.95.
Ou commandez directement auprès de Philippe Gauthier ($7.00 et
pas de TPS à payer).
Il y a aussi Le Chateur de Fer et Le Destin de Qader.
Prix pour les 3: 20$.
Pour information envoyer ca au 1:167/580 ou au 1:167/506,
a Philippe Gauthier.
┌─ Le TOP 5 des taglines ──────────────────────────────────────┐
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1. Si l’argent n’achète pas le bonheur, il peut le louer
2. ████████████████ Nul si découvert
3. Joins-toi aux Forces, vois des gens épatants, puis tues-les
4. Je pexu tapre 300 most a la mniute
5. Sans la syntaxe, c’est beaucoup meilleur
Avis à tous ceux qui se reconnaissent. 🙂
┌─ Annonces classés ───────────────────────────────────────────┐
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Cette nouvelle section sera ouverte dès qu’il y aura des
annonceurs. AVIS AUX INTÉRÉSSÉS. Les intéressés à y placer une
annonce quelconque devront me contacter sur mon babillard,
MMQ0003.DOC Le MicroMensuel du Québec – Avril 1993 Page 10
TechnoBytes BBS – (514)278-1963 ou en NetMail pour discuter du
tarif et de l’annonce en question.
Constantin Koutrias
┌─ Chronique Turbo-Pascal ─────────────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
Ce mois-ci on va parler un peu de routines de string. La
recherche d’un ou de caractères dans une string. N’oubliez pas
de déclarer l’utilisation de l’unité DOS au début de votre
programme.
Voici donc la routine:
Program TextSearch;
Uses Crt,Dos;
Const
SearchStr = ‘AbCdEfG’; { ou n’importe quoi }
Var
t : Text;
s1,s2 : String;
l : LongInt;
Function SUpCase(s : String) : String;
Var
i : Integer;
Begin
For i := 1 to Length(s) do s[i] := UpCase(s[i]);
SUpCase := s;
end;
Begin
l := 0;
s2 := SUpCase(SearchStr);
Assign(t,’TEXTFILE.EXT’);
Reset(t);
While Not Eof(t) do
Begin
Readln(t,s1);
Inc(l);
If Pos(s2,SUpCase(s1))>0 then Writeln(l,’ ‘,s1);
end;
Close(t);
end.
MMQ0003.DOC Le MicroMensuel du Québec – Avril 1993 Page 11
Vous pouvez me donner du “feed-back” là-dessus car je n’ai pas
eu le temps de l’essayer! :-))
┌─ Le mois prochain ───────────────────────────────────────────┐
╘══════════════════════════════════════════════════════════════╛
– Le 2e chapitre d’un l’excellent roman de Philippe Gauthier.
– Un article intéressant sur OS/2 … j’espère 😉
– La Chronique TurboPascal
