La rose du marin

Des plus hautes cimes,
Une rose s’épanouissait.
Sans compter les rimes,
Deux coeurs s’unissaient…

De ton tendre regard,
Sous la brume envoûtante,
S’illumine nos vies comme des phares,
Dans une grande tourmente.

Mille roses aux pétales d’argent,
Brillent dans tes yeux ardents.
Tu est là, comme chaque instant,
Épris de tous ces moments…

Mille brises que la chaleur enivre
Caresse nos deux corps enlacés.
Dans cet instinct de vivre,
La passion engage notre passé.

Mon coeur, mon corps,
Tout ce que je t’offre encore,
Une rose au parfum d’or,
Pour couvrir de lumière ton corps…

Il n’y a de plus beau présent,
Qu’une vie partagée aux quatre vents,
Sans toi, tout n’est que tourment,
Est-il interdit d’être amant ?

Des plus hautes cimes,
Libre comme la rose des vents,
Voici mon âme que je te livre,
Ma tendre aimé que j’aime tant !

Te porterais-je sur le parvis,
De cette église notre demeure ?
Croire en cela c’est toute ma vie,
J’attendrai que sonne l’heure !

A demi mots, mon coeur est plein,
Il ne demande qu’à exploser,
Je dis cela en vain,
Juste pour pour se reposer.

Ma douce et bel amour,
Oh ma merveilleuse flamme,
Tu es mon coeur si lourd,
Mon amour, ma vie, ma femme…

À propos de ymartin

YMartin.com / ve2ymm.com
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