Icom T90

Icom IC-T90A - VE2YMM

Tri-bande amateur

Tx : 50-54 / 144-148 / 440-450 MHz
Rx : 0.495-999.990 MHz (Cell. bloqués seulement pour la version américaine)

(…)

Bonne radio dans l’ensemble. Le mode émission passe difficilement dans les endroits fermés et bien souvent il faut se mettre en moyenne ou haute puissance (5 Watts) pour éviter la « chute d’eau ». D’un esthétique agréable et fait d’un boîtier d’aluminium très résistant, le T90A est intuitif et facile à utiliser. Souffre de petits problèmes d’intermodulations (principalement en ville, comme la plupart des portables) et d’une antenne un peu grande pour le 6 mètres, ce qui, somme toute, est quand même un bon compromis pour utiliser la bande des 50MHz ! Le modèle canadien bénéficie d’une couverture complète en réception, sans que la bande des cellulaires ne soit bloquée (824 – 848.9875 et 869 – 893.9875 MHz).

Spécifications en bref du tribande Icom T90A

Frequency range: TX: 50-54 / 144-148 / 440-450 MHz
RX: 0.495-999.990 MHz (Cellular blocked)
Mode: TX: FM
RX: AM/FM/WFM
Conversion: Double (AM/FM/WFM)
IFs 1 = 69.45 MHZ (AM/FM)
1 = 13.35 MHz (WFM)
2 = 450 kHz
RF Power output: Hi: 5/5/5 W
Lo: 0.5/0.5/0.5 W
Sensitivity: AM (at 10dB S/N):
0.495 – 4.995 MHz 1.3µV
5.000 – 29.995 MHz 0.56µV
118.000 – 136.000 MHz 0.5µV
222.000 – 229.995 MHz 0.79µV
320.000 – 329.995 MHz 1.0µV
FM (12dB SINAD):
1.625 – 4.995 MHz 0.4µV
5.000 – 49.995 MHz 0.18µV
50.000 – 54.000 MHz 0.16µV
54.000 – 143.995 MHz 0.18µV
144.000 – 148.000 MHz 0.16µV
148.005 – 221.995 MHz 0.4µV
222.000 – 225.000 MHz 0.32µV
225.005 – 246.995 MHz 0.4µV
247.000 – 429.995 MHz 0.32µV
430.000 – 450.000 MHz 0.16µV
450.005 – 832.990 MHz 0.32µV
833.000 – 999.990 MHz 1.0µV
WFM (12dB SINAD, typ):
40.000 – 108.000 MHz 1.0µV
175.000 – 221.995 MHz 1.8µV
470.000 – 770.000 MHz 3.2µV
Selectivity: AM/FM: -9dB@15kHz, -60dB@30kHz
mage response: N/A
Voltage: 5.5-11.5 VDC
Current drain: RX: 65-220 mA
TX: Max 2 A
Impedance: 50 ohms, SMA
Dimensions (W*H*D): 58*87*29 mm
Weight: 240 gr (with BP-217 and antenna)
Manufactured: Japan, 2002-200x
Other: 555 memories in 18 banks. DTMF and CTCSS.
RIT +/- 5 KHz. 10 dB attenuator. Tuned frequency
can be announced in morse code! PC-programmable.
Alpha tags.

Opinions sur eHam : http://www.eham.net/reviews/detail/2643

Autres liens pertinents :

Documentation du Icom IC-T90A :

Câble d’interface PC à faire soi-même :

OPC-478 - VE2YMM

Étendre la couverture en émission du IC-T90

  • Désouder les 3 diodes encerclées en bleu.Mods IC-T90A - VE2YMM
  • Une fois les diodes enlevées, la carte ressemblera à ceci :Mods IC-T90A - VE2YMM
  • Faites ensuite un Reset du T90.

Après la remise à zéro (Reset) la puissance de sortie ressemble approximativement aux valeurs suivantes :

45.300 mhz	3.8 watts
à
75.100 mhz	1.5 watts 	Tel que spécifié dans les bandes amateurs.
à
89.000 mhz 	La puissance de sortie va diminuer jusqu'au déverrouillage du PLL.


90.700 mhz	Le PLL se verrouille seulement à puissance réduite.
à
92.500 mhz	0.8 watts
à
110.000 mhz	0.8 watts


117.800 mhz	1.0 watts
à
179.900 mhz	2.0 watts 	Tel que spécifié dans les bandes amateurs.
à
238.000 mhz	La puissance de sortie va diminuer jusqu'au déverrouillage du PLL.
		Puissance très faible dans la bande des 220 MHz.


300.000 mhz	0.5 watts
à
540.000 mhz	0.5 watts 	Tel que spécifié dans les bandes amateurs.
à
580.000 mhz	La puissance de sortie va diminuer jusqu'au déverrouillage du PLL.

Note : Cette modification ne débloque pas la réception des cellulaires.

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Yaesu VX-6R/E

Yaesu VX-6R - VE2YMM

Tribande amateur

  • VX-6R (Nord Amérique)
  • VX-6E (Europe)

Tx : 144-148 MHz / 222-225 MHz (modèle R seulement) / 440-450 MHz
Rx : 0.500-999.998 MHz (Cell. bloqués pour le modèle R)

(…)

Considéré comme un des meilleurs du moment.

Très bonnes critiques sur eHam.net : http://www.eham.net/reviews/detail/5013

Spécifications techniques

Type: Amateur VHF/UHF transceiver
Frequency range: TX: 144-146 / 430-440 MHz (Europe)
TX: 144-148 / 222-225 / 430-450 MHz (USA)
RX: 0.504-999 MHz (Cellular blocked in the US)
5/9/10/12.5/15/20/25/50/100 KHz steps
Mode: TX: FM
RX: AM/FM/WFM
RF Power output: 2m/70cm Hi: 5/5 W, Low3: 2.5/2.5 W, Low2: 1/1 W, Low1: 0.3/0.3 W
220 MHz Hi: 1.5 W, Low3: 1 W, Low2: 0.5 W, Low1: 0.2 W
Sensitivity: 0.5-30 MHz, AM: 3 uV (10 dB S/N)
VHF low, NFM: 1 uV (12 dB SINAD)
140-150 MHz, FM: 0.16 uV (12 dB SINAD)
400-470 MHz, FM: 0.18 uV (12 dB SINAD)
Selectivity: AM/NFM: 12 KHz (-6 dB), 35 KHz (-60 dB)
WFM: 200 KHz (-6 dB), 300 KHz (-20 dB)
Image rejection: N/A
Voltage: 7.4 VDC (nominal), 5-16 VDC (external)
Current drain: RX: 20-150 mA
TX: Max 1.8 A
Impedance: 50 ohms, SMA
Dimensions (W*H*D): 58*89*29 mm
Weight: ? gr
Manufactured: 2005-200x
Other: 1000+ memories with alpha-tags. CTCSS/DCS, DTMF, ARTS.
Built-in temperature sensor and optional barometric pressure
sensor (SU-1). WIRES-compatible. CW training feature.
Password protection. Waterproof/submersible

Documentation du Yaesu VX-6 :

Autres liens pertinents :

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Antennes HF de ville

Antennes de ville - VE2YMM.com

Installer une antenne HF en pleine ville est réellement un défi. En général les signaux d’intermodulation vous obligent à utiliser des atténuateurs dans les ondes longues et le bruit (S3 à S9) réduit l’écoute souvent jusqu’à environ 5 à 10MHz. De plus l’encombrement que nécessitent la ou les antennes et les ajustements qui vous obligent à monter plusieurs fois sur le toit de votre maison ou d’en demander l’autorisation à votre propriétaire, peuvent vous décourager tout aussi vite. L’espace est donc aussi un paramètre non négligeable à considérer lors de l’achat et de l’installation d’une antenne dans une métropole. Et c’est exactement cette expérience personnelle qui m’a permis de faire quelques recherches pour trouver de bonnes antennes, efficaces et surtout simples à installer et pas trop encombrantes. Les opinions diffusées sur eHam m’ont permis d’en apprendre beaucoup et d’orienter mon choix dans un futur très proche !

2 entreprises ont retenu mon attention :

  1. La première est une entreprise canadienne, T.G.M. Communications installée à Stratford en Ontario qui propose des antennes multibandes (4 bandes : 20,15,10,6 mètres ou 6 bandes : 20,17,15,12,10,6 mètres) peu encombrantes. Elles nécessitent idéalement un rotor pour pouvoir les orienter et offrent de bonnes performances. Elles permettent jusqu’à 1200 Watts en émission et peuvent supporter des vents de 120km/h.
  2. Traffie Technology est une entreprise américaine située à Ashby près de Boston dans le Massasuchet. Ils offrent une technologie originale pour des antennes directionnelles mono ou multibandes de type hexagonal. Elles seraient plus simples à assembler et à régler (voir les autres avantages ici ). Il faudra quand même débourser plus de 1100$ pour le modèle 5 bandes hx-5bi (20-17-15-12-10 mètres) !
  3. SteppIR est une entreprise américaine située près de Seattle à Bellevue , offrant des antennes Yagi, très populaire chez les amateurs qui ont la place pour les installer. SteppIR offre aussi des antennes verticales 1/4 d’onde. 2 modèles sont disponibles :
    1. la BigIR III de 32 pieds (9.75m.) couvrant 3.5 à 54MHz ;
    2. et une version plus petite, la SmallIR de 18 pieds (5.49m.) couvrant de 13.8 à 54MHz.

    Ces antennes ont à la base une boite d’accord couplée à une console contrôlée par un microcontrôleur, permettant une pleine couverture. Ce type d’antenne nécessite néanmoins une bonne mise à la terre et un système rayonnant. Dépendant si l’antenne est installée au sol ou sur un toit, il faudra l’adapter avec des radians pour compenser l’effet de sol et permettre le retour d’onde de l’antenne. Ce choix est néanmoins un bon compromis, car il évite  l’installation encombrante d’une antenne directive, d’un moteur et d’une console pour contrôler la direction de l’antenne.

Il existe donc des alternatives intéressantes ou compromis riment avec portefeuille, mais tout du moins, les solutions existent et permettent de garder cette passion intacte grâce à de nouveaux matériaux et technologies innovateurs.

Informations complémentaires :

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Analyseur d’antenne RigExpert AA-200

RigExpert AA-200 - VE2YMM.com

Régler une antenne, tout bon radio amateur sait le faire, et s’il ne le sait pas, ses amis amateurs le conseilleront selon leurs expériences respectives. Même avec une bonne expérience, le bon « set-up » n’est pas toujours facile à réaliser et bien souvent, pas pratique non plus. L’antenne est souvent imposante (surtout dans les bandes décamétriques), le poste de radio pas toujours facile à déplacer, les pannes et les imperfections (mauvaise impédance, retour HF, mauvais balun, câble qui entre en résonance avec une fréquence donnée, mauvaise soudure de connecteur, etc.) sont parfois difficiles à détecter … Et en passant en revue tous les inconvénients, rien ne pourra remplacer un bon outil : l’analyseur portable d’antenne de RigExpert, le modèle AA-200.

C’est un outil simple, portable, avec un écran rétroéclairé et graphique. Un véritable appareil de pro !

SWR scan - AA-200 - VE2YMM.com

L’une des fonctions les plus utiles et sans doute la plus facile à utiliser, c’est sans nul doute la visualisation du TOS (Taux d’Ondes Stationnaires ou SWR) de l’antenne dans une bande de fréquences programmables avec une résolution de 1 kHz ! Calibrer une antenne ne vous aura jamais paru aussi simple ! Mais les spécifications ne s’arrêtent pas là. Avec le AA-200, il est possible de vérifier l’impédance de votre câble et de votre antenne, sa réactance exacte, sa capacitance et son inductance, car une impédance parfaite n’existe pas, simplement à cause de la longueur de votre câble coaxial. Il est donc souvent nécessaire de l’ajuster au mieux afin d’éviter au minimum les pertes grâce à un bon calibrage.

L’analyseur vous propose un menu en plusieurs langues, la possibilité de se connecter à un PC pour capturer par exemple vos résultats et les intégrer dans un éditeur de textes. Il a une autonomie de 2 heures grâce à sa batterie rechargeable au NiMH, mais l’appareil vous permet aussi de détecter les problèmes de câbles en court-circuit, de voir même la qualité de l’impédance du coaxial, la résonance de votre antenne, etc. C’est un outil idéal pour toutes les antennes de réception ou d’émission jusqu’à 200MHz !

Voici un petit aperçu de l’utilisation rapide, mais efficace, pour régler une antenne avec le AA-200 :

Informations :

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Rotor d’antennes

Rotor d'antenne - ve2ymm

Comment choisir un bon rotor d’antenne ?

Choisir une antenne directive est une chose, encore faut-il pouvoir l’orienter correctement avec un bon rotor solide. Sa solidité doit correspondre à la force que le moteur doit supporter en fonction de la prise au vent maximum de l’antenne. Il faut aussi vérifier que le contrôleur parfois « intelligent » ne brusquera pas trop le moteur afin de lui écourter sa durée de vie. En effet, une fois installé, vous ne voudrez pas remonter sur votre mât ou votre pylône pour le changer ou le réparer trop vite … surtout en pleins hivers !

Un Rotor est un ensemble de pièces mécaniques qui tournent avec des engrenages, contrôlés par des composants électroniques. En y regardant de plus près, on s’aperçoit vite que les différents modèles de rotors ont des caractéristiques particulières dont il faut prendre en compte ainsi que des détails qui pourraient sûrement vous éviter bien des tracas. Idéalement, il faut vérifier les points suivants :

  • Vérifier la force au vent maximum en fonction de l’antenne qui sera utilisée (souvent indiqué par le fabricant du rotor par la charge au vent par pieds carrés ou Wind load sq ft.)
  • Si le rotor est installé sur la base d’un mât triangulaire ou un simple mât, cette charge n’est pas toujours la même selon les rotors. Elle est souvent inférieure à cause de la charge mécanique supplémentaire causée par la traction des mâts.
  • Si vous utilisez un simple mât, un adaptateur de mât est parfois nécessaire.
  • Vérifier la qualité de la graisse utilisée. Certains modèles résistent mal à nos hivers québécois !
  • Vérifiez sur eHam les défauts que peuvent avoir certains modèles. Par exemple les modèle Hy-Gain CD44, 45, 45-II ont des potentiomètres fragiles (composante qui permet de connaître la direction) et le problème est assez commun sur ces produits.
  • Enfin, assurez-vous de connaître une place qui pourra assurer la maintenance de votre rotor en cas de défaillance. «  NORM’S ROTOR SERVICE » est sans conteste, une bonne référence chez les amateurs pour trouver les bonnes pièces et les bons conseils !
  • Les rotors d’occasions font peut-être de bons deals, mais n’oubliez pas que cette mécanique s’use avec le temps…
  • Enfin, les contrôleurs ont aussi leurs lots de surprises. Par exemple, certains anciens modèles n’ont pas de système de freinage à délai en bout de course, ce qui a tendance à les briser (modèles Hy-Gain HAM2/3/4 et TX2). Des kits de freinage intelligent existent pour éviter les problèmes (voir le modèle BD-189)

Le contrôleur ou la console est câblé au rotor avec un câble de 4 à 8 fils selon les modèles et ces interfaces sont souvent propriétaire à chaque modèle de rotor. Il existe cependant des modèles universels qui ont bien d’autres avantages que leur universalité. Ils peuvent être couplés entre eux si vous avez plusieurs antennes directives et peuvent aussi être connectés à votre ordinateur via un câble USB. Le modèle RT-21 de Green Heron Engineering est sans doute le modèle le plus populaire. Il s’adapte sur pratiquement tous les rotors existants, mêmes les anciens modèles, et son utilisation est un véritable jeux d’enfant. Tournez le bouton (sans attendre), la console fait le reste tout en douceur ! (voir aussi les opinions sur eHam)

Pour votre contrôleur existant, des kits existent aussi pour créer une interface entre la console et votre ordinateur, mais il faudra bien entendu trouver « la » bonne interface.

La station (hiver, janvier 2009) :

Après quelques recherches donc, mon choix s’est porté pour un rotor de direction Alliance HD-73-1 et le controleur RT-21D. Durant l’hiver, le thermomètre est souvent descendu au dessous des -20C. Le Rotor fut quand même en mesure de fonctionner le jour si il y avait du soleil et si le thermomètre ne descendait pas au dessous des -18C. Au delà de cette limite, le mecanisme était gelé ! Couplé au controleur RT-21D, un système de limitation garantit quand même de ne pas brûler les éléments électroniques à l’intérieur du rotor. Le Alliance HD-73-1 supporte donc assez bien nos rudes hivers québécois… pour le moment !

Des moteurs professionnels :

Bien entendu, si vous en avez les moyens, il existe aussi des moteurs très résistants, utilisés dans les installations amateurs haut de gamme, commerciales et militaires. Ces rotos sont fait pour durer et leurs spécifications sont plus larges ou plus spécifiques, selon les utilisations qui en sont faites. Sachez que le prix n’est pas le facteur le plus important à considérer dans ces cas là, et peuvent varier entre 1500$ et 3500$ pour les stations amateurs (Pro.Sis.Tel , M2 Antenna Systems, Inc. , GIOVANNINI, etc.) et démarrent à 14,000$ et plus pour les installations commerciales !

Pour infos :

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Une liste d’épicerie électronique

 YvesMartin.net - Une liste d'épicerie électronique
Voici le « Voice Recognition Grocery List Organizer » (ou « Liste d’épicerie à reconnaissance vocale »). Dans tous les foyers, il devrait remplacer le crayon et la feuille de papier ou le tableau collés sur le réfrigérateur. Plus besoin de rédiger votre liste, dites-le et il la mémorise pour ensuite vous imprimer la liste des achats à faire à l’épicerie ! Cet appareil peut reconnaître jusqu’à 2500 articles différents et en reconnaître jusqu’à 5000 si vous ajoutez vos propres articles. Il est possible de produire deux listes d’épicerie distinctes pour ensuite les imprimer. Il consomme 2 piles de type AA et se colle sur votre frigidaire à l’aide de sa base magnétique. Ses dimensions sont de 5″ H x 3 3/4″ W x 1 1/4″ D. (9 oz.) et coûte 99,95 $CAD. Son seul défaut est de ne reconnaître que l’anglais !

Source : http://www.hammacher.com/

Ancien modèle (sorti en 2006 avec 2500 articles au total, en mémoire) :

YvesMartin.net - Une liste d'épicerie électronique

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Le Obama BlockBerry

 Blockberry Storm 9500 ... made in China - YvesMartin.net

 On se souvient de l’élection du président américain monsieur Obama, et de son dilemme à ne vouloir se séparer de son BlackBerry, jugé non sécuritaire par son état major. Hé bien pour le plaisir planétaire, une entreprise chinoise vient de sortir le BlackBerry 9500, un hybride entre le BlackBerry et les modèles approuvés par la NSA (mais sans y intégrer les algorithmes de cryptages).

 Ses caractéristiques sont élégantes et complètes. Ce téléphone à l’avantage de ressembler au BlackBerry, mais sans être obligé d’adhérer au réseau BlackBerry. On y retrouve entre autres choses un récepteur FM, un vrai GPS autonome munit d’une puce sensible de type SiRFStar III, des connexions WIFI et Bluetooth ainsi que les connexions haute vitesse 3G et la connectivité au réseau EDGE. Propulsé par un processeur à 460MHz, ce téléphone GSM utilise la plateforme Windows Mobile 6.1de Microsoft.

 Alors si vous n’avez pas les moyens de vous payer le téléphone du Président Obama, vous pourriez au moins en avoir une copie … made in China !

Source : Cloned in China

Voir aussi l’article : Un gadget … présidentiel 

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PointCA, Lauréat des prix ESTim 2009

Vendredi 15 mai 2009

Lauréat Innovation et technologies - ESTim 20092009

PointCA Télécom, est fière d’avoir remporté le premier prix dans la catégorie « Innovation et technologies »
décernée par la « Chambre de Commerce de l’est de Montréal ».

PointCA Télécom - Lauréat Innovation et technologies - ESTim 2009

Toutes les informations sont disponibles sur le site web
de la « Chambre de Commerce de l’est de Montréal » (CCIEIM)

Vidéo de l’évènement :

Articles de journaux parus dans :

 

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Un oeuf musical extra !

 On est capable de détruire notre planète, mais ce qui nous rassure, c’est notre imagination à inventer des trucs (même inutiles) qui savent nous émerveiller ! … Il y a de l’espoir 😉

 Sony distribue un œuf musical très amusant, le « Sony Roller ». En fait vous en parler serait inutile, voyez plutôt la vidéo ! …


Preview du Sony Rolly par generationmp3 par gmp3

Pour votre information et si vous voulez faire plaisir à votre Papa fou passionné de gadgets, le « Sony Roller » se vend quand même près de 400 dollars américains ! Le plaisir a quand même un coût…

Merci à Bernard pour son lien.

Infos : www.Sony.com

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Alternative à la crise …

Electic car - YvesMartin.net

Loin d’être un spécialiste de la finance, les hauts et les bas de la crise économique actuelle me surprennent chaque jour. En pleine récession, là où des entreprises licencient encore par milliers d’employés, l’euphorie des indices financiers de ces derniers jours n’a rien pour me rassurer. Le pétrole augmente vite, les employés perdent leurs emplois tout aussi vite un peu partout sur la planète, le cours de l’or est aussi à son plus haut niveau, bref l’inflation galopante nous guette, devrais-je me réjouir ? Et ces réjouissances ne sont que temporaires… Même si la logique devait encourager l’optimisme, nous devrions quand même nous préparer au pire. Question de bon sens.

Voilà une entreprise américaine qui perd des milliards depuis des décennies, qui vient d’emprunter quelque 20 milliards dans les poches des contribuables américains, et qui pour convaincre le bon sens de continuer à perdre encore plus, se propose de fabriquer une voiture plus économique. Même les entreprises européennes, championnes dans le domaine des petites voitures, ont déjà du mal à les vendre. J’ai de la difficulté à comprendre les rouages de cet éléphant blanc. GM, pour ne pas la nommer, joue à l’équilibriste entre la bêtise ultra conservatrice et de riches intérêts. Qui a donc si peur de voir tomber ce trou noir financier ? Pourquoi ne pas lancer une nouvelle alternative aux coûteuses voitures à combustion polluantes et dont nous sommes les esclaves chaque jour ? Il y a plus de 20 ans pourtant, la voiture électrique roulait déjà. Ce n’était plus un prototype, c’était un modèle réel que des gens, comme vous et moi, utilisaient chaque jour pour aller travailler. Elle roulait si bien que ses protagonistes décidèrent de les détruire toutes. Impossible d’en acheter une, elles étaient toutes louées. À bien y penser, il y a selon les spécialistes, encore de pleines réserves de pétrole pour les 30 prochaines années, alors je comprends ces mégas consortiums à vouloir à tout prix que les voitures à essence restent encore un peu sur la planète, même si elles sont plus coûteuses à fabriquer, même si elles sont aussi plus compliquées à construire qu’un modèle électrique, même si elles polluent et tuent notre environnement et les futures générations de nos enfants, même si l’entretient et plus dispendieux et enfin, même si le moteur à combustion et bien moins efficace en rendement qu’un modèle tout électrique ! … Voilà déjà 20 ans que l’on met des bâtons dans les roues de ces innovations en prétextant que personne ne veut de ces nouveaux véhicules et qu’ils ne sont pas ce que les gens souhaitent ! … Je suis le premier à en vouloir une ! J’ai même prévenu mon garagiste d’arrêter de m’appeler pour essayer de me vendre une voiture, sauf s’il avait des modèles tout électriques… Il n’a malheureusement pas su quoi répondre. La bonne nouvelle, c’est qu’il ne m’appellera plus.

Outre la richesse et le pouvoir, quels sont les intérêts philosophiques qui se cachent derrière cette non-volonté à ne pas vouloir évoluer vers un monde meilleur ? Est-ce cette résistance à vouloir changer ? De tous les temps, l’histoire a montré que le pouvoir suprême a toujours été déchu et que même les grands hommes qui ont encore leur place dans nos livres d’histoire sont encore présents parce qu’ils avaient la conviction d’aider leurs peuples à évoluer en toute humilité. Notre histoire du monde est pourtant remplie d’exemples que nous oublions trop vite. Que diront les enfants de nos enfants en parlant de cette période riche et tourmentée ? Que nos dirigeants avaient tort ou raison et que la cupidité régnait encore ?

Comme Épicure, c’est le temps présent qui me préoccupe, c’est maintenant que j’ai besoin d’économiser et d’arrêter de polluer la planète sans raison. Il existe une multitude de projets écologiques, de fabricants de véhicules électriques, d’initiatives dans le monde pour utiliser les énergies alternatives, solaires et autres. Il y a plus de 3000 ans, les lignées de pharaons avaient déjà interdit l’accès à ces lacs noirs. Ils ne savaient pas à l’époque que c’était du pétrole brut, mais avaient certainement l’intuition que tout n’est pas bon à prendre à la nature. Tous ces projets et une volonté commune pleine de bon sens permettraient même de continuer à faire tourner la terre et enrayer notre dépendance à une seule énergie qui contrôle presque tout. Et ne me m’attribuez pas d’étiquette sommaire, histoire de trouver une raison ou un coupable. Je n’appartiens à aucun parti politique même si mes idées pourraient être étiquetées, je ne fais partie d’aucun mouvement ou groupe populaire, je ne suis qu’une voix pleine de raisonnement qui ne souhaite qu’évoluer au lieu de faire du sur place.

Sommes-nous prêts à changer ? Je le suis, mais vous, le serez-vous ?

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Ennio Marchetto … À voir à tout prix !

On l’appelle l’homme Carton ou « Cartoon » à cause des costumes originaux faits de papier, un peu comme dans les bandes dessinées. Depuis 18 ans, il parcourt le monde pour le plaisir de tous. Son souci des détails, la simplicité dans ses gestes sont irrésistible de bonheur ! Sur une scène sombre, il rayonne par sa seule présence, dans un style muet et musical. C’est une poésie gestuelle pleine d’humour et la personnalité d’Ennio galvanise un public émerveillé…

À voir à tout prix, extraordinaire, c’est fabuleux, hypnotisant!

… « Capoté » comme on dirait par chez nous !

Quelques liens :

Merci à Michel pour son lien.

 

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Vacances en Chine

Vacances en Chine - YMartin.com
 Trajet : Shanghai – Hangzhou – Hefei – Xi’an – Beijing

(Toutes les photos sont disponibles dans l’album privé.)

Ils construisent des villes !

Avertissement : Décrire notre expérience de ce merveilleux périple en Chine aurait certainement nécessité la rédaction d’un livre tout entier tellement nous avons apprécié notre voyage. Je ne vous livre ici que l’essentiel. Si vous avez des questions, n’hésitez surtout pas à me contacter !

Un vieux proverbe chinois raconte à peu près que lorsqu’un étranger visitait le pays du milieu d’une journée, il connaissait tout de la Chine, s’il y restait un mois, il connaissait beaucoup de choses et qu’après toute une vie, il y avait encore beaucoup à y apprendre ! La Chine a une histoire de plus de 5000 ans, racontée sur des os, du bronze, de la soie ou des tablettes en bambous, et plus de 1000 ans en avance sur l’occident, sur du papyrus (en 105 apr. J.-C.). Ils comptaient en base dix et avant même les règles à calcul, ils avaient déjà apprivoisé le boulier (utilisé en Chine depuis plus de 8 siècles), calculatrice moderne de l’époque ! D’ailleurs, les chinois parlent eux-mêmes de la Chine comme étant une culture vaste et profonde.

Une remarque de Sophie, notre professeur d’histoire ancienne de la Chine à l’Université du Québec à Montréal, m’était toujours restée sur ma faim. Les Chinois, disait-elle, sont très individualistes. C’est une remarque qui peut sembler paradoxale, dans un pays dont les philosophies ancestrales partagées entre la Taoïsme et le Confucianisme, privilégient entre autres choses, la famille et la société au détriment de l’individu. Et même si ces philosophies sont un peu dépassées de nos jours avec une Chine plutôt moderne et ouverte, on regarde ce pays en pourcentages, plutôt qu’avec des noms ou des marques très connues mondialement, et là encore, très peu d’individualité ne semble s’y refléter. Alors, pourquoi dire que les Chinois sont individuels ? Je crois qu’il faut au moins y aller une fois pour mieux comprendre ce qu’elle voulait dire, et en fait différencier l’individualisme de 2 façons. Pour un Occidental ou un nord américain, l’individualisme est souvent associé à l’égoïsme, une sorte de périmètre de protection personnelle ou notre propriété ne peut en aucun cas être violée, oubliant l’humilité et même parfois le respect. On réagit gratuitement et instinctivement, parfois violemment, dès que ce périmètre est franchi par un intrus. L’individualisme chinois est sans doute plus calme et pragmatique et ce périmètre de protection, cette zone individuelle n’existe pratiquement pas. C’est une différence importante, car cela permet aux foules de ne pas paniquer même si elles ne sont pas très disciplinées, si on vous double en voiture, et c’est dire que la conduite en Chine est une véritable insoumission au Code de la route, mais nulle part les conducteurs ne s’enflamment, même si vous les dépassez sans prévenir… Mais les Chinois restent individualistes. Ils parlent fort sans se soucier de vous déranger ou non, travaillent fort, mais ne sont pas jaloux de leurs voisins … et à ce titre, on peut sans doute dire qu’ils sont individualistes. C’est un trait de caractère particulier qui semble convenir à tout le monde, et tous s’accommodent de cette entente humble et respectueuse, dans une parfaite indiscipline !

Bref, ce vaste territoire à bien des histoires à raconter et ce voyage au bout du monde fut merveilleux en tous points. Le temps fut plus que clément, alors qu’à Montréal les pelouses étaient encore blanches, ici nous étions en t-shirt ! Une seule journée de pluie fut au calendrier des 17 jours passés en Chine, et même ce jour-là, nous étions dehors, autour des sentiers du Grand lac de Hangzhou.

Durant notre périple en Chine, nous avons brièvement visité Shanghai, Hangzhou, Hefei, Xi’an et Beijing (Pékin) (voir la photo plus haut).

Notre avion atterrit à Shanghai, accélérant notre journée de 12 heures à cause du décalage horaire, en plus des 14 heures de vol… Capteurs de température à l’arrivée (pour détecter les malades à l’aéroport et prévenir les pandémies) et détecteurs traversés, la douane passée et nos valises récupérées, il nous fallut environ une heure en bus pour arriver au centre-ville de Shanghai.

Le plus étonnant durant le trajet fut de remarquer que les constructions de grandes infrastructures allaient bon train, et cette constatation fut générale dans pratiquement toutes les villes que nous allions traverser. Plus tard, nous allions voir que non seulement les villes se bâtissent, mais que aussi dans les villages ou des tas de briques rouges sont entassés un peu partout le long des routes, les ouvriers s’affairent à construire des maisons et des bâtiments. Nouveaux métros (Xi’an, Hangzhou, Hefei…), autoroutes, ponts, immeubles, etc. Ils construisent simplement des villes ! Et cela ne prend pas 10 ans comme ici pour simplement prolonger le métro d’une station ou deux, l’année prochaine tout sera presque achevé à cause de l’Exposition universelle de Shanghai 2010. Jour et nuit, les travailleurs transpirent pour faire comme à Beijing, et transformer ce méli-mélo de poussière et de gravats en agréables jardins et infrastructures prêtes à accueillir le reste du monde !

Shanghai est une grande ville de près de 19 millions d’habitants ! (source : http://www.chinadaily.com.cn/china/2009-03/14/content_7579501.htm). En comparaison, Montréal n’a que 1.6 million pour l’île de Montréal seulement et 3.6 millions d’habitants (en comptant la proche banlieue) ! Il est donc très facile de s’y perdre, d’autant que sans maitriser ni la langue ni l’écriture, on se sent un peu démuni face à ce nouveau monde qui bouge très vite. Ici, peu de vieilles personnes, tous sont jeunes et menus. Pas de personne en surpoids (même en cherchant !), pas de graffitis non plus… même dans les coins moins reluisants de la métropole. L’ouverture de la Chine permet à tout le monde de travailler. Et ne cherchez pas de service ou de produit en particulier, en général tout est fait pour que dans cette nouvelle économie, les produits viennent à vous ! Dans le métro par exemple, vous cherchez une carte de la ville… patientez un peu, une personne vendra sûrement des cartes de la ville pour 1RMB (Monnaie chinoise, le Yuan ou le Renminbi, équivalent du dollar chinois, 1RMB= 0.55$CAD environ)… Les armées de vendeurs sont jeunes et ne vous lâchent pas quand vous entrez dans un magasin (surtout si vous n’êtes pas chinois), ce qui parfois, me fait fuir les commerces ! Il y a à Shanghai tout ce que les Occidentaux peuvent trouver. Les grandes marques telles Channel, Gucci, Yves St-Laurent, Rolex, etc., mais aussi Mac Donald, Carrefour, Auchan, Ikea, Wal-Mart… Bref, ne serait-ce que la nourriture et les habitudes qui sont différentes, Shanghai est une grande ville du monde.

Nous sommes arrivés à Hangzhou en train rapide, l’équivalent du TGV en France. Cette ville est construite près du “Grand Lac”. Le climat y est humide et agréable, les jardins et les places publiques sont des endroits de rêve pour se reposer. Il y a près de Hangzhou, un temple bouddhiste impressionnant, emprunt de légendes. Les fidèles y font bruler de l’encens et prient. Mais Hangzhou reste une ville très reposante avec ses grands parcs et ses activités sur le Grand Lac. C’est aussi une ville universitaire, et il n’est pas exceptionnel de rencontrer des Occidentaux enseignants. L’agencement de la nature dans les endroits publique est un enchantement. Pas de formes géométriques, mais plutôt un style en harmonie avec la nature, avec des couleurs douces et vives à la fois. Les agencements sont presque mélodieux et s’y promener vous procure beaucoup d’apaisement. La musique est d’ailleurs mêlée aux arbres, qui cachent des haut-parleurs, camouflés comme à l’armée ! Un métro est en construction et comme Shanghai, la construction est omniprésente. Nous avons partagé avec les amis de Yin, une expérience inédite. Il est de coutume de socialiser entre amis, dans un salon de massage pour les pieds. Selon la médecine chinoise, le pied joue un rôle primordial dans la santé et la longévité. Il est un indicateur concernant l’état des différents organes du corps. Aussi, cette tradition ancestrale de se faire masser les pieds afin de déceler des anomalies ou simplement pour faire du bien, est très à la mode, c’est un rendez-vous entre amis ou l’on peu aussi y boire du thé, discuter, ou simplement passer du bon temps. J’avoue être un peu sensible des pieds, et l’agréable s’est parfois mêlée de chatouillements, mais l’expérience était originale et somme toute, très appréciée.

Cette fois, nous avons pris le train-couchette, et près de 12 heures plus tard, nous arrivions dans la ville natale de Yin. Hefei est une petite ville qui s’est rapidement développée (comme beaucoup de villes en Chine). De quelques milliers d’habitants, il y a plus de 20 ans, époque ou Yin y vivait encore, c’est aujourd’hui 5 millions de personnes qui peuplent cette mégapole ! Se promener dans les rues vous fait découvrir à chaque carrefour des projets immobiliers, les immeubles y poussent par dizaines, comme des champignons. Les contrastes sont parfois frappants, mais le plus désolant est vraiment cette pollution, mêlée de poussière et de nuages qui semblent jaunâtres au travers des fenêtres de notre hôtel, le matin …

Même type de transport que la dernière fois, dans un décor très accidenté de montagnes percées de tunnels. Le train nous amène de nuit dans la la célèbre ville qui dessine l’histoire de la Chine. Xi’an (prononcer « Chïane »), est sans nul doute le centre historique de la chine. On y retrouve une vieille ville fortifiée, formée d’un rectangle d’environ 13 km de périmètre que nous avons parcouru en vélo (tandem), et dont la chaine du pédalier nous a lâchement quittés dans les derniers kilomètres ! Le soir, nous avons parcouru le quartier musulman et on y trouve plein de petits commerces de toutes sortes, colorés et odorants. Nous y avons mangé des plats épicés… Le lendemain, nous avions réservé deux places avec un voyage organisé afin d’y découvrir les fabuleux soldats d’argiles qui accompagnaient le tombeau du premier empereur, celui-là même qui unifia pour la première fois la Chine, en y apportant des changements majeurs, unifiant la langue et les mesures, créant des écoles et de nouvelles lois équitables pour tous, il inventa la poste, la monnaie papier, etc., et fit de la Chine un véritable empire du Milieu. Les soldats d’argile de Xi’an sont sans doute les plus connus dans le monde, et les rencontrer est encore plus impressionnant. Il faut préciser qu’aucun de ces soldats ne se ressemble, ils ont tous des visages différents… et faits très étranges, personne ne sait, même encore aujourd’hui, où sont passées les armes qui accompagnaient les soldats qui protégeaient la tombe funéraire. Pour la petite histoire, seuls, les grands dirigeants de pays sont autorisés à regarder dans les yeux les soldats d’argiles. Très prisé, notre guide nous compta qu’une seule des briques utilisées pour construire cette tombe funéraire vaudrait pour un collectionneur 3 fois son poids en or ! Mais les soldats que nous voyons ont aussi subi les ravages du temps, et se sont rapidement décolorés dès qu’ils furent exposés à l’air libre. C’est pour cette raison que les autres sites qui ont aussi été découverts, on a laissé les soldats dormir encore sous terre afin de les préserver, car la technologie actuelle ne permet pas de les restaurer efficacement afin qu’ils conservent leurs couleurs d’origine. Nous avons aussi visité l’ancien quartier général du dernier parti démocratique. Son histoire et les locaux sont préservés pour les touristes, ainsi que les trous de balle de revolver conservés sur les portes, les murs et les fenêtres avant que son dirigeant ne prenne la fuite pour se réfugier dans la montagne. Mais nous n’avons vu là qu’une partie de l’histoire contenue à Xi’an, et plusieurs jours de plus auraient certainement été nécessaires pour compléter nos connaissances… malheureusement, notre planification fut assez serrée 😉

À moins de 2 heures d’avion, nous arrivâmes à Beijing (Pékin). Étrangement, le climat fut particulièrement clément et la pollution bien moins présente que dans les villes précédemment visitées. Il y avait aussi peu de construction en comparaison de nos expériences précédentes. En fait, Beijing a été modelée et transformée pour les Jeux olympiques de 2008. C’est une belle grande ville propre, agréable, emprunte aussi d’histoire et de places merveilleuses à visiter. Une particularité des villes plus au nord de la Chine comme Beijing, c’est le changement brutal et radical de la météo. Sous un soleil de plomb, nous avons visité les lieux sacrés ou les anciennes dynasties d’empereurs qui priaient. Sans crier gare, et en moins de 5 minutes, le ciel s’est brusquement empli de nuages presque noirs et la température chuta tout aussi brutalement. Pas d’orage ni de pluie, mais le soleil fut définitivement remplacé par de lourds cumulus chargés d’humidité…

Bien entendu, nous avons visité la place « Tien An Men », la cité interdite (rien que pour traverser cette cité, véritable ville dans une ville, il nous a fallu plus de 2 heures !). Un peu comme le Louvre à Paris, prévoyez au moins une journée pour visiter cette magnifique place. Et de tous les monuments historiques que la Chine offre, la grande muraille de Chine est, sans aucun doute, la plus impressionnante. En chinois : 长城 (Chángchéng) signifie littéralement la « longue muraille ». Avec un ami d’une amie à Yin, qui est photographe, nous avons découvert 3 sites de la grande muraille. Le premier très touristique, avec tous ces petits magasins qui vous vendent des t-shirts au logo de « Oui, j’ai gravi la grande muraille » (en anglais) … pour 1$, et les quelque 500 mètres de dénivellation à gravir sur des marches usées par le temps pour atteindre les remparts. Mais nous sommes aussi allés dans des endroits un peu plus reculés, là ou il faut traverser un barrage sur des briques qui dépassent de l’eau, prendre des petits chemins cachés et accessibles aux gens du coin, longer les murs et gravir sur une échelle de fer, le dernier rempart avant de nous retrouver enfin sur la grande muraille ! Bien entendu, à l’opposé des sites touristiques ou l’on rencontre des Français, des Allemands, grecs, espagnols, etc., ici seul un photographe au loin avait emmené un jeune coupe pour y prendre des photos de mariage, avec des remparts ancestraux en arrière-plan. Notre ami photographe, nous expliqua que justement, ces petites places, à l’abri des touristes, sont des endroits parfais pour y prendre des photos, car personne ou presque ne vient vous déranger, et rarement des cars de touristes ! Il faut savoir que les murs de la grande muraille de Chine font par endroit jusqu’à 9 mètres de haut, traversent 6 provinces et feraient entre 6700 et peut-être 8000 km de long ! Ce titanesque ouvrage fut réalisé à bras d’homme ! Ces fortifications militaires chinoises ont été construites, détruites et reconstruites en plusieurs fois et plusieurs endroits entre le Ve siècle av. J.-C. et le XVIe siècle pour marquer et défendre la frontière nord de la Chine. Bien entendu pour les moins courageux et si le cœur vous en dit, il y a aussi des téléphériques qui vous emmènent sur les remparts du mur directement.

Le dernier jour fut passé au complexe du stade olympique de Beijing, avec le stade en nid d’abeilles, dessiné par les Français pour les Jeux olympiques de 2008. La planète a pu admirer ce chef-d’œuvre et nous avons visité les lieux. Pour 50RMB par personne, nous sommes même allés au centre du stade, ou sons, lumières et films rétrospectifs jouaient pour l’occasion. Être présent dans ce stade, vous offre quand même une drôle de sensation, un bien-être, un plaisir de pouvoir partager ce que le monde à fait durant ces moments mémorables… nous y étions !

Et voilà en quelques mots très condensés, notre périple en Chine. Personnellement j’ai beaucoup aimé. J’ai apprécié les habitudes, la culture, les gens, même si la communication passait toujours par mon interprète particulier, Yin, ma femme ;-), mais je retournerai dans ce pays, même les yeux fermés, car il y a à découvrir, plus de 5000 ans d’histoire et certainement le futur pour les nouvelles générations. Définitivement, la Chine va devenir bien plus que ce que les Chinois appellent eux-mêmes, le pays du milieu !

Quelques conseils pratiques si vous visitez la Chine :

  • Pour partir en Chine, vous avez besoin d’un visa et d’un lieu de chute (une adresse où vous allez séjourner). Pensez-y en premier lieu !
  • Réservez si possible à l’avance les hôtels où vous désirez rester. Vous bénéficierez souvent de tarifs très avantageux et éviterez les mauvaises surprises. Un site de référence à visiter pour trouver un hôtel : http://english.ctrip.com/ . Les hôtels sont classés selon les critiques des voyageurs, et nos choix ont toujours été faits sans surprises avec ce site. Beaucoup de Chinois l’utilisent quand ils voyagent !
  • Si vous changez votre argent avant de partir, faites-le idéalement dans un quartier chinois qui propose ce service, ou directement à la banque de Chine en Chine. Vous bénéficierez d’un meilleur taux en général ;
  • Si vous ne parlez pas la langue, n’hésitez pas à utiliser les services d’un guide. Ils sont là pour ça, ce n’est pas très cher et ils vous donneront une foule de détails culturels qui vous aideront à mieux connaitre les habitudes et tous les aspects de la vie de tous les jours ;
  • On vous dit souvent que les achats se négocient dans les magasins, surtout dans les petites boutiques de souvenirs. C’est vrai, mais … la négociation a certaines limites qu’il ne faut pas dépasser et il faut rester raisonnable dans les montants. Cette pratique est d’ailleurs normale dans pratiquement tous les petits magasins, sauf dans les grandes surfaces où, partout comme ailleurs, les prix sont déjà bas et fixés d’avance ;
  • Si vous achetez un billet de train, évitez les petits stands ou agences de voyages qui vendent les billets. Allez directement aux guichets de la station de train. Vous y ferez certainement la queue, mais vous paierez le juste prix ;
  • La circulation en général va vous sembler très anarchique la première fois, surtout dans les villes. Prenez le pas, et faites comme tout le monde ! 😉
  • Les taxis sont très abordables, n’hésitez pas à les utiliser ! Il ne vous en coûtera que l’équivalent de quelques dollars à chaque fois, ce n’est vraiment pas cher ! … mais bien souvent, il faut avoir quelques notions de chinois ou au moins l’adresse écrite en chinois sur un bout de papier … Préparez-vous et emportez un dictionnaire avec vous !

… et de tous les conseils que je pourrais vous offrir, soyez simplement curieux, essayez, testez la nourriture. Elle est bien plus saine que celle que l’on mange en Amérique du Nord, même si parfois elle semble « bizarre » !

 Les photos sont disponibles dans l’album …

Références :

 

 

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SPOT, un GPS de survie

SPOT - YvesMartin.net

 Pas plus gros qu’un petit cellulaire de poche, résistant aux intempéries, SPOT est le tout premier dispositif de localisation internationale pour les particuliers. Ce petit appareil permet de vous localiser rapidement sur la simple pression d’un bouton, pour rassurer vos proches ou demander de l’aide presque partout sur la planète (voir : www.findmespot.ca/fr/explorespot/index.php?cid=130 ), même aux endroits ou vos cellulaires ne sont pas accessibles, SPOT continuera de fonctionner. Si vous prévoyez voyager hors des sentiers battus, ce petit appareil pourrait vous offrir bien plus qu’une assurance. Dans des conditions extrêmes, il pourrait même vous sauver la vie ou aider les secours à vous retrouver très rapidement ! Autrefois, des applications similaires étaient réservées aux sauvetages en mer ou sur terre ou dans les coins du globe un peu reculés, et le prix de ces services était souvent très dissuasif pour un particulier. SPOT est bien plus accessible. Il peut vous suivre à la trace et offrir à vos proches la sécurité de savoir exactement où vous êtes, en temps réel, directement via une interface web et visualiser votre position exacte sur une carte mondiale avec l’aide de Google Maps™. Il est possible de suivre vos déplacements quand vous partez à l’étranger, lors d’excursions ou d’évènements spéciaux comme les rallyes ou les courses transatlantiques par exemple, mais aussi si vous partez à la chasse, en balade sur une rivière ou simplement si vous faites du skidoo l’hiver… SPOT est une assurance sur la vie peu coûteuse, qui veillera sur vous en tout temps.

Exemple de suivi de SPOT avec  Google Maps™:

SPOT - YvesMartin.net

La société SPOT Inc. a été créée en 2007. C’est une subdivision de Globalstar, Inc.

Ce que ça coûte ?

  • L’appareil se vend normalement 169.99 $CAD au Canada (en promotion à 144.99$CAD jusqu’au 31 mars 2009, et 134.95 $CAD chez Durham-Radio) ;
  • Il faut ajouter à cela un abonnement annuel de US$ 99 pour les services d’aide et de la fonction « Contrôle ». Cette dernière (SPOTcheckingSM) permet d’envoyer un signal qui offre à vos proches, vos amis et les membres de votre famille que vous ayez choisi à ce titre, de savoir que vous allez bien et de connaître votre position. Elle vous permet également de sauvegarder des points de cheminement vous donnant ainsi la possibilité de revoir ultérieurement votre itinéraire ;
  • La fonction « Progression » est offerte en option pour US$ 49,99 par année, et permet d’envoyer régulièrement un signal pour suivre vos déplacements. (Cette fonction doit être réactivée toutes les 24 heures) ;
  • Enfin, la souscription à une assurance pour US$7,95 si souscrit lors de la première mise en fonction ou US$150 par la suite, prévoit à l’aide de la balise Geos, le remboursement des frais de secours engagés pour des services additionnels de recherche et de sauvetage, y compris le sauvetage par hélicoptère n’importe où dans le monde, et ce, à concurrence de US$ 100,000.

Informations complémentaires :

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Une montre qui vous réveille au bon moment

Sleeptracker Pro - YvesMartin.net Combien de fois le réveil matinal est-il un supplice… Quelques minutes de plus pour en profiter et vous voilà en retard !  La raison de cette désynchronisation matinale vient simplement du fait que vous ne vous êtes pas réveillé au bon moment ! En effet, le sommeil est une suite de 4 à 5 cycles de 90 minutes environ (pour 8 heures de sommeil moyen), constituée de phases de sommeil léger, profond, paradoxale et de courts moments de quasi-réveil de 3 minutes au maximum ou le dormeur est un peu plus agité. C’est durant cette période idéale qu’il faudrait être réveillé.

 La fonction principale de la montre SleepTracker Pro, outre de donner l’heure, est simplement de vous réveiller au bon moment pour ne pas vous lever, justement, du pied gauche ! Doté d’un accéléromètre, son programme interne différentie les mouvements involontaires des mouvements contrôlés. Programmable dans un créneau de 10 à 90 minutes (20 minutes suffisent pour la plupart des cas), cette montre intelligente déclenche une sonnerie ou un vibreur pour que vous puissiez vous réveiller en douceur, afin que vous vous sentiez moins fatigué, même quelques minutes plus tôt que d’habitude ! Il est ensuite possible de transférer vos données sur un ordinateur via une prise USB, pour que vous puissiez analyser votre sommeil et vos habitudes.

 Même si cette montre vous réveille un peu plus tôt, elle promet de vous éveiller en toute plénitude pour que vous sentiez moins fatigué que d’habitude !

 Au prix proposé de 199 dollars au Canada, peut-être voudriez-vous rester un peu plus grincheux !

 Informations disponibles sur le site de www.sleeptracker.fr (France) / www.sleeptracker.com (reste du monde)

 … et si vous ne pouvez vraiment pas dormir, suivez ce lien : www.gotosleep.be/gotosleep.swf

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Récepteur SDR QS1R

Récepteur numérique SDR modèle QuickSilver QS1R de la compagnie américaine Software Radio Laboratory LLC. (Columbus, Ohio, USA)

QS1R - ve2ymm.com

Le modèle QuickSilver QS1R (US$998.00 avec le boitier – avril 2009) est sans doute un des meilleurs récepteurs du marché dans sa catégorie. Il nécessite l’utilisation d’un ordinateur (minimum suggéré : Intel Pentium 2.5 GHz dual core, 512MB). La solution “client-server” du logiciel SDRmaxIII permet de recevoir jusqu’à 2 clients simultanément (fonction que je n’ai pas encore réussi à faire fonctionner) ! En plus d’utiliser la technologie SDR (Software Defined Radio ou radio logiciel), son interface est très visuelle et surtout, très fluide à utiliser (voir la démo sur YouTube ). C’est un récepteur tous modes qui permet nativement la réception de 15 Khz à 55 Mhz. Le logiciel et le micrologiciel sont entièrement disponibles en GPL (open source) et l’interface logiciel fonctionne sous Linux, Mac et Windows ! De plus, l’appareil est prévu pour des mises à jour logiciel et matériel pour supporter la réception jusqu’à 3 à 500MHz en plus de nombreuses options futures plus qu’intéressantes.

Essais :

La première utilisation du QS1R ne s’est pas faite sans heurts. Heureusement, le forum de support est très actif et m’a bien aidé. Le concepteur (Phil, N8VB) a été très compatissant tout au long de cette expérience. La mise en place du logiciel se fait en mode client-serveur, c’est-à-dire qu’il il y a 2 logiciels : un installé comme serveur, et l’autre étant l’interface à proprement dite. Pourquoi ce choix ? Tout simplement parce que l’internet et les réseaux informatiques sont une extension de plus en plus vivante dans le monde de la radio. Installer le logiciel (le serveur) à une place et pouvoir faire l’écoute de la HF grâce à l’interface sur un simple ordinateur “connecté” depuis une autre place, permet d’offrir beaucoup plus qu’un simple récepteur de radio ! Partager ce récepteur SDR avec des OM de la planète entière fait aussi partie de cette philosophie du monde des radioamateurs.

3 interfaces sont disponibles : WinRad, SDRmaxII et SDRmaxIII. Cette dernière est encore en mode “Beta”, mais c’est celle-ci que j’ai préférée à cause de sa plus grande simplicité d’utilisation (moins de boutons, plus intuitive avec une grande utilisation des raccourcis via la souris). Dès la mise en route, l’analyseur de spectre offre un visuel très clair et très large du spectre de fréquences. 8 canaux sont disponibles et le mode “EiBi” permet de lier une fréquence à une base de données sur les identifications des stations radio du monde entier. J’ai comparé la réception de mon Icom 7700 avec le QS1R, et à ma grande surprise, le récepteur SDR était plus sensible (environ 2 points de plus en réception). Quand on monte au-delà de 50 MHz, des filtres passe-bande devraient être utilisés pour éviter les interférences et les harmoniques.

Ce que j’ai aimé :

L’utilisation du SDR est vraiment conviviale, même si au début l’utilisation de la souris est un peu inhabituelle dans cet environnement. L’analyseur de spectre est très rapide et précis, les réglages sont simples et faciles à manipuler. C’est un véritable plaisir à utiliser.

Ce que j’ai moins aimé :

Bien entendu il faut considérer que l’interface du SDRmaxIII en en version Beta (version 1.0.0.21), et que, comme un bon vin, elle ne pourra que s’améliorer avec le temps ! Les réglages des filtres ne sont pas disponibles (NB1, NB2, ANF, NR), ce qui limite … le filtrage. On aurait aimé des réglages disponibles sur ces boutons, particulièrement le NR (Noise Reduction). Il n’y a pas de gestionnaire de mémoires, ceci pourrait être pratique. Puisque l’interface passe par un ordinateur, il aurait été judicieux d’y ajouter des décodeurs PSK, FSK, RTTY, Fax, etc… mails il existe cependant une myriade de bons logiciels que l’on peut utiliser en ajout à l’interface du DSR. Il faut aussi une bonne carte de son ou une interface de son USB (que je recommande) si on veut utiliser les fonctions audio du serveur ou l’écoute sur un haut-parleur. Le DAC n’est pas assez puissant pour des haut-parleurs, mais fonctionne très bien avec un casque audio stéréo. On aurait aussi aimé un driver audio intégré au récepteur pour éviter du cablage et l’utilisation d’une carte audio.

Le logiciel est de type “Client-Serveur”, mais le son n’est pas géré sur la version serveur (SDRmax2 et 3). Le client peut donc interagir avec l’interface, mais ne pourra pas entendre le son du récepteur (ce qui n’est pas vraiment pratique). Le son devra donc être géré indépendamment.

Note concernant le support et le forum officiel : Le forum est dirigé par son concepteur et ce dernier supporte très mal les critiques. Le produit est excellent, mais pas question ici de poser une question qui déplaira à l’auteur, de donner votre avis, de mentionner ce qui ne va pas ou qui lui semblerait hors sujet. La censure est donc de mise et l’ensemble manque donc réellement de transparence et de maturité. C’est dommage. Beaucoup de mes questions sont restées sans réponses. En les reformulant et extirpant mes remarques j’ai eu quelques réponses, mais cela est loin d’être constructif. Donc si vous avez des difficultés, vous serez peut-être laissé à vous-même. Pour cette unique raison, ce produit n’est resté qu’une semaine sur mes tablettes.

À bon entendeur …

Spécifications du QS1R :

  • Frequency Range (BNC LPF Input): 15 kHz to 55 MHz (10 kHz à 62 MHz dans les spécifications techniques)
  • Frequency Range (SMA direct input): 15 kHz to 300 MHz
  • Input Impedance: 50 ohms
  • Clipping RF Level: +9 dBm (S9+80db)
  • Maximum Display Bandwidth: 50 MHz
  • ADC Sampling Clock: 125 MHz (1 – 130 MHz with external encode input)
  • I/Q Image Rejection: 90+ dB
  • MDS (500 Hz): -122 dBm @ 14 MHz
  • BDR: 125 dB
  • Voltage: 5 – 6 VDC, 2A fused, reverse polarity protected
  • Current Draw: 500 mA (typ.)
  • Connectors: BNC (RF IN LPF), SMA (RF IN, EXT ENCODE CLOCK), USB Type “B”, 2.5 mm DC Power
  • LEDS: Power, Clipping, Debug (internal)
  • Dimensions: 160 x 100 mm (3.299″ x 3.940″) (board size)

En projet pour le QS1R :

  • Bandpass and RF Amp-Attenuator board -RFFE1
  • QS1T Direct Up-conversion (DUC) Transmitter
  • VHF/UHF/Microwave Expansion boards
  • Vector Network Analyzer (VNA) Add-on
  • Digital Oscilloscope and Spectrum Analyzer Add-on
  • Universal Control I/O Board
  • 60 – 300 MHz Undersampling Adapter

QS1R et composantes utilisées

  • LTC2208 16 bit, 130 MSPS analog to digital converter (ADC)
  • Altera Cyclone III EP3C25 FPGA
  • Cypress CY7C68013A USB 2.0 Microcontroller
  • I2C expansion bus
  • SPI expansion bus
  • RF expansion “VERB Bus”
  • Open source micrologiciel for “FX2” microcontroller
  • Open source verilog for Cyclone III DDC
  • Open source software – SDRMAX-win, SDRMAX-linux
  • Firmware, verilog, and software user updatable via web download
  • Secure Digital (SD) card connector for configuration memory (optional)
  • TI PCM1771 24 bit DAC for optional audio output
  • 125 MHz LVDS output
  • Low pass filtered (55 MHz) BNC input
  • Direct input (15 kHz – 300 MHz) via SMA connector
  • Direct input (15 kHz – 300 MHz) via RF expansion bus
  • External encode clock (ADC clock) input via SMA connector
  • Ultra low noise clock included as standard
  • 160 x 100 mm (6.299″ x 3.940″) L x W
  • Fused and reverse polarity protected  2.5 mm DC power input
  • Power and ADC clipping LED indicators
  • Four user programmable “debug” LEDs

Carte (vue de dessus)

QS1R - ve2ymm.com

 

Carte (vue de dessous)

QS1R - ve2ymm.com

 

Nouvelle version du logiciel SDRmaxIII pour le QS1R

SDRmaxIII - ve2ymm.com

Démo sur YouTubbe :

Quelques liens pertinents :

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